1. Parfois, il faut forcer le destin...


    Datte: 06/09/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, hdomine, noculotte, entreseins, Oral pénétratio,

    ... grand sourire illumina mon visage. Je me retirai d’elle et la fit se retourner avec force. Je l’ai plaquée des deux mains contre le plan de travail et j’ai écarté ses jambes pour me faciliter le chemin. Mais encore une fois je la fis languir, me contentant de ne rentrer que mon gland en elle. — Alors, redis-moi ce que tu veux.— Je veux que tu me baises, que tu me fasses du bien avec ta queue, jeune homme ! Comment refuser une telle proposition ?! Je me mis à la pilonner de toutes mes forces. Elle était complètement offerte et criait de plaisir sous mes coups de boutoir répétés. Évidement, je ne mis pas à longtemps à sentir l’orgasme. Je ne sais pas pourquoi, mais alors que je sentais que j’allais partir, je l’ai attrapée par les cheveux et tiré sa tête vers moi. Malgré la surprise, elle me laissa faire et je me suis répandu en elle alors que je sentais son vagin se contracter autour de mon sexe, me signalant qu’elle jouissait en même temps que moi. Je suis resté quelques secondes ainsi planté en elle, reprenant mon souffle après cette folle cavalcade, puis je me suis retiré, laissant échapper un filet de ma semence qui s’écoulait d’entre ses cuisses. Elle s’est retournée et m’a regardé avec un regard encore hagard de l’orgasme qui venait de la traverser. — Eh bien, qu’est-ce que tu m’as mis !— Je me suis laissé un peu emporter, j’avoue. J’espère que ça ne t’a pas trop gênée ?— T’es bête ! Bien sûr que non : j’ai adoré. Mais je ne m’attendais pas à ça.— Tant mieux.— Sers-nous ...
    ... donc à boire et attends-moi dans le canapé. Il faut que j’aille nettoyer un peu ce foutre qui coule entre mes jambes.— D’accord, je t’attends. Je l’ai regardée s’éloigner vers la salle de bain puis je me suis rhabillé. Tout en repensant à ce qui venait de se passer, j’ai pris deux verres que j’ai remplis d’eau fraîche. Je les ai emportés sur la table de salon et je me suis affalé dans le canapé, épuisé par nos galipettes. Au bout de quelques minutes, j’ai vu revenir Anita vêtue d’une magnifique robe rouge moulante et assez courte au niveau des cuisses, laissant apparaître le liseré de ses bas, mais cependant peu décolletée. Elle se planta devant moi et tourna sur elle-même. — C’est ce genre de tenue que tu attendais tout à l’heure ?— Par exemple. Je la détaillai et je vis qu’elle n’avait remis aucun sous-vêtement car ses tétons pointaient sous le tissu moulant, ce dernier ne laissant apparaître aucune marque de string ou de culotte, uniquement celle du porte-jarretelles. Elle vint s’asseoir à côté de moi et but une moitié de son verre d’eau. — C’est une très jolie robe que tu as mise, là.— Merci. Je l’aime beaucoup. Et je profite de la mettre tant que je peux encore rentrer dedans.— Arrête : tu n’es pas grosse !— C’est mignon, mon grand ; mais tu sais, à mon âge, les kilos pris, on ne les perd pas ! Et puis je me demandais si je pouvais encore la mettre sans soutien-gorge, même si mes seins tombent un peu. Ça va ; je suis assez contente.— Ça produit bien son petit effet, en ...
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