Parfois, il faut forcer le destin...
Datte: 06/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
hdomine,
noculotte,
entreseins,
Oral
pénétratio,
... vue, mon sang ne fit qu’un tour ! Je la plaquai contre le plan de travail de la cuisine et l’embrassai fougueusement. Alors que ma langue était partie à la rencontre de la sienne, elle leva une jambe en la frottant contre la mienne et je m’empressai d’agripper cette cuisse ferme et gainée de noir. Je fis rapidement glisser la robe de chambre à terre et, glissant mes mains sous les baleines de son soutien-gorge, je fis jaillir ses seins hors de leur prison. Ma bouche abandonna la sienne pour se jeter sur ses deux obus, et spécialement ces deux tétons roses qui pointaient fièrement dans ma direction. La tête rejetée en arrière, Anita me laissait faire, soupirant sous mes caresses et s’agrippant à mon dos, plantant parfois un peu ses ongles dans ma chair. Une de mes mains glissa rapidement vers son string et s’introduisit sous le tissu. Comme je m’y attendais, son sexe était complètement trempé. Quelques caresses sur son bouton d’amour déclenchèrent de grands cris de plaisir. Maladroitement, je réussis d’une main à faire glisser son string le long de ses cuisses pour mettre à nu son puits d’amour. Mes doigts se glissèrent quelques minutes en elle, mais elle me voulait autre chose : — Mets ta bite en moi, s’il te plaît, me murmura-t-elle à l’oreille entre deux soupirs. Sans me faire prier, je défis mon jean et mon caleçon que j’envoyai voler dans la pièce tandis qu’elle fit de même avec son string qui reposait toujours sur ses chevilles. Elle s’assit sur le plan de travail de la ...
... cuisine qui se trouvait à la hauteur idéale pour ce que nous avions à faire et ouvrit largement les cuisses. Je présentai mon sexe à l’entrée du sien, et d’un coup de reins sec je me retrouvai au plus profond d’elle, lui arrachant un cri plus fort que les précédents. Je restai quelques secondes, immobile, savourant le plaisir de me trouver à nouveau dans cette femme mûre. Puis j’ai commencé de grands va-et-vient en elle, de plus en plus rapides ; Anita m’encourageait à la prendre ainsi. À l’entendre ainsi, je décidai de pousser le vice plus loin. D’un coup, je m’arrêtai, à moitié enfoncé en elle. Au début, elle ne dit rien, puis elle me demanda pourquoi je m’arrêtais ; elle voulait que je continue. Mais je ne bougeai pas, la laissant me supplier. — Mais qu’est ce que tu attends ? Prends-moi encore !— Je ne sais pas… J’hésite…— Non mais, ça ne va pas ! Tu ne vas pas me laisser comme ça !— Tu as tellement envie que je te baise ?— À ton avis ! Oh, mais j’ai compris : tu veux que je te supplie encore plus, c’est ça ? Je me contentai de répondre oui de la tête. — Très bien. Oui, je veux que tu me baises ! Que tu me défonces ! Je me contentai d’effectuer un simple aller-retour en elle. — Petit salaud ! Tu as gagné… Elle se tut quelques secondes puis lâcha d’un coup en criant : — Oui, je veux que tu me défonces ; oui, je suis une petite salope qui aime se faire prendre par un gamin qui a quinze ans de moins que moi ! Je suis une salope et je suis TA salope ! Alors baise-moi !!! Un ...