1. L'année des mirabelles


    Datte: 19/09/2019, Catégories: fh, grp, fagée, extracon, extraoffre, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, campagne, voyage, collection, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, échange, Partouze / Groupe portrait, humour, voisins,

    ... bon : Roselyne était une femme sérieuse, satisfaite de sa petite vie tranquille auprès de son mari, technicien sur les plates-formes pétrolières de Norvège. Roselyne était originaire du village, et elle venait d’y obtenir sa mutation comme institutrice. Quand elle se pencha pour introduire une clé USB dans la tour du PC, les contours de sa petite culotte, de grande taille, se dévoilèrent ainsi que les petits cœurs rouges qui parsemaient l’arrière du slip en coton. À leur retour de vacances, son mari avait réintégré sa plate-forme pour un mois et, en rangeant un tiroir de son époux, elle avait découvert la clé USB, cachée dans une paire de chaussettes roulées en boule. J’étais resté debout à ses côtés pendant que Roselyne faisait défiler une série de photos. Les photos, pourtant très pudiques, ne laissaient aucun doute sur la liaison qu’entretenait, en Norvège, son mari avec une dame assez filiforme, la quarantaine. Photographiée en maillot de bain sur une plage, la Norvégienne laissait voir ses côtes saillir sous la peau tellement elle était maigre. On ne peut pas dire que Roselyne, qui tombait des nues, avait vraiment apprécié cette révélation. Avec une élocution laborieuse due à son état éthylique, elle profita de ma présence pour vider son sac sur son mari qui venait de la trahir. — Ce salaud ne va pas l’emporter au Paradis : dès ce soir, je vais l’appeler et demander le divorce avec les torts à sa charge. Pierre, va te mettre à l’aise sur les bains de soleil de la ...
    ... terrasse, le temps que je me rende présentable car je veux que l’on s’envoie en l’air ; une grosse fornication pour que ce salaud sache que lui aussi est cocu. Tu n’as pas le droit de refuser ça à ta copine ! En plus, tu vas être gâté car, quand je suis pompette, je fais preuve de beaucoup d’imagination… Roselyne disparut un certain temps, mais, le résultat en valait la chandelle : la chevelure impeccable ; un rouge à lèvres incandescent ; le soutif à balconnets ; la fine ceinture porte-jarretelles noire et les bas assortis ; les hauts talons rouge sang ; le shorty à bords flottants, en satin blanc. Elle semblait ne pas avoir honte de ses deux ou trois kilos superflus puisqu’elle me laissa découvrir ses charmes, souriante, les bras derrière le dos. Quand elle les ramena sur le devant, une main tenait un rouleau de papier absorbant de cuisine et l’autre une bouteille d’huile d’olive. — Pour mettre un petit peu de venin dans le coup de téléphone à mon cher époux, j’ai pensé l’informer que sa petite femme avait autorisé son amant à la sodomiser, rien que pour entendre sa réaction de petit-bourgeois très coincé sur le plan sexuel ; je ne suis pas méchante, mais… un petit AVC en direct au téléphone me réjouirait pleinement.— Roselyne, je suis désolé, mais je suis complètement novice en matière de sodomie.— Moi aussi ; c’est pas une raison pour mourir idiot, non ? C’est vrai qu’elle dévoila des talents insoupçonnables, la maîtresse d’école. Pour la première fois, on me lécha la raie du ...
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