1. L'année des mirabelles


    Datte: 19/09/2019, Catégories: fh, grp, fagée, extracon, extraoffre, grosseins, groscul, poilu(e)s, lunettes, vacances, campagne, voyage, collection, noculotte, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, échange, Partouze / Groupe portrait, humour, voisins,

    ... de se vautrer dans le fauteuil voisin, une jambe posée sur chacun des accoudoirs. Comme on était entre gens de bonne compagnie, elle refusa que je sorte le préservatif que je gardais dans ma poche depuis mon divorce. J’inclinai le buste pour passer les bras derrière ses genoux. Je repliai ensuite ses jambes dans la position du poulet à la broche pendant que je guidais mon membre vers la foufoune humide. C’était spacieux, confortable. Murielle synchronisa les mouvements de son bassin avec les miens avant de m’adresser quelques discrets cris aigus d’encouragement. — Voilà une bonne chose de faite ! Ce fut le seul commentaire de sa part qui conclut ma prestation. En attendant de trouver sur Internet un voyage sacrifié pour m’offrir une semaine de repos, avec obligatoirement une mer à 25° dès le petit matin, je distribuais, au fur et à mesure de ma récolte échelonnée, les mirabelles aux voisins les plus proches et à des copains. L’accueil fut chaleureux partout. Jojo, mon voisin de gauche, était en vacances mais Charline, mon adorable octogénaire de voisine de droite, fut enchantée de pouvoir faire une tarte à ses enfants et petits-enfants. Rien n’allait mal. Je pus élargir le cercle de ma distribution aux gens de la rue que j’aimais bien, car la récolte de mirabelles était faramineuse. De toute façon, il fallait que je distribue tous les fruits avant de partir en vacances, car mon ex-épouse avait fait un jour un essai de conservation au congélateur et le résultat s’était révélé ...
    ... catastrophique : les mirabelles avaient pris une couleur brune peu sympathique et un arrière-goût qui avait rendu la tarte inconsommable. Il y avait sûrement un truc pour les conserver ; il faudrait que je me renseigne un de ces jours quand même… Tout le monde était ravi de recevoir son sachet de fruits bios. Chez ma copine Roselyne, j’allais me résoudre à lui laisser les mirabelles au pied de sa porte car elle ne répondait pas à mes coups de sonnette. Finalement, un coin de rideau se souleva et elle ouvrit sa porte. Je ne l’avais jamais vue dans un tel état. Elle, toujours si coquette, n’était pas maquillée alors qu’on approchait des 11 heures. Ses cheveux abondants, toujours impeccablement coiffés d’ordinaire, décolorés ce trimestre en jaune banane, étaient complètement hirsutes. Ses yeux rougis derrière ses grosses lunettes en écaille indiquaient qu’un événement anormal venait de se produire. — Qu’est-ce qui se passe, ma grande ? Je peux essayer de t’aider à résoudre un problème, peut-être ? Dès qu’elle ouvrit la bouche pour m’inviter à rentrer, son haleine imbibée de pastis agressa mes narines. Elle m’invita à la suivre dans son petit bureau. Elle était en savates, portant encore sa veste de pyjama et un pantalon caleçon, blanc, qui avait connu des jours meilleurs. Roselyne n’était pas grosse mais un peu dodue, et ce caleçon moulant ne cachait rien de son fessier impressionnant et de ses cuisses imposantes. J’avais fantasmé sur cette croupe, m’imaginant la tripoter… Mais ...
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