Avec le père de Lucas...
Datte: 19/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... Il arrêta la voiture et saisit son téléphone : - Salut, c’est moi… On est en bas. Tu veux qu’on monte ? - ….. - Ok, on t’attend. Puis il se retourna vers moi : - C’est une amie à moi, je me suis dis que ça te ferai peut être plaisir de la niquer avec moi ! - Et elle est disponible sur commande, comme ça ? - Son mari est en haut dans l’appart’, il la baise pas comme il faut, alors on s’appelle mutuellement quand on a envie. Et là j’ai envie ! Tu m’as donné envie ! Bon, alors, tu viens ? - Ok. Il a fait les présentations dans la cage d’escalier, c’était une belle femme de la trentaine, beaucoup trop belle pour avoir à vivre avec un mari impuissant. On est allé dans une petite chambre de bonne au dernier dont elle avait la clef. L’endroit était bien meublé, je pense que c’était sa garçonnière. Elle nous a servit un verre et à baissé ma braguette. Elle m’a sucé avec application, elle avait l’habitude des queues comme la mienne. Je pense que François la ramonait déjà depuis au moins un an. Mon pantalon glissa au sol, je le portais rien dessous. François avait ramené des capotes grandes tailles, ma queue était raide, 18cm et épaisse comme un rouleau de sopalin. Il fit glisser la capote sur ma queue. J’en pouvais plus, j’avais les couilles remplies à raz-bord, ça n’allait pas durer longtemps. Sur le coup, le fait que je ne la connaisse pas, que François soit là, face à moi, en train de se branler, ne m’a absolument pas dérangé. Je l’ai pénétrée en levrette. Elle se tenait à ...
... quatre pattes, la tête dans l’entrejambe de François qui la faisait sucer tout ce qu’elle pouvait. Il ne m’avait pas fait jouir par lui même, l’idée même de servir un type de mon âge le répugnait, mais il tenait à ce que je gicle quand même. - Ca te plait ? - Ouais ! - Vas y, profites bien, on a tout notre temps ! Même avec la capote, je sentais chaque millimètre de ma queue entrer et sortir de la chatte de cette femme. Ma queue était au comble de la sensibilité, chaque oscillation de mon piercing, bien calé dans le latex, me donnait un plaisir immense. Le plaisir était apparemment partagé, ma partenaire mouillait abondamment et m’encourageait : - Tu vas me faire jouir ! Oh oui, encore encore ! Ces phrases ponctuèrent tout le rapport qui dura peut être 45 minutes par intermittence. Je voulais en profiter et en même temps ma queue était déjà prête à jouir avant même que je rencontre cette partenaire fortuite. Attendant la fin des vagues de cris de plaisir qu’elle laissait échapper, je retirer ma queue quelques secondes pour reprendre mes esprits et éviter de jouir tout de suite. Je la regardais, François la regardait et notre copine de baise la regardait. Elle était magnifique. Dure comme la pierre, le gland violacé, gonflé, énorme, se détachant sur la hampe. Le piercing calé dans la chaire et calé dans la capote, les couilles pendantes, les veines bleues et rouges saillantes. Elle me lançait : - Remets-la moi ! J’ai envie de ta queue ! Je la lui remettait et je repartais pour 15 ...