Avec le père de Lucas...
Datte: 19/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... marquée par l'usage répété avec une barre verticale ancrée dans sa chaire. Je n'avais jamais connu de manche comme ça. J'ai très peu sucé dans ma vie, d'ordinaire c'est moi qui me fait pomper. Je ne suce que mes potes, Lucas, Yann et Antoine, leurs queues fragiles et à peine pubères de gamins de 25 piges. Celle là était d'une autre trempe. - N'aie pas peur, elle n'est pas en sucre la mienne ! Il m'incitait à y aller plus fort. Je tentais de poser des suçons sur son gros gland et c'est à peine s'il bronchait. Trempée de salive, je l'astiquais de la main droite comme si je tentais de la polir, il commençait à souffler. Je l'ai agrippé alors très fermement, le poing bien serré, et passais dessus sans égard pour ses bijoux en lubrifiant à peine de ma salive et, enfin, il commença à laisser échapper quelques râles. La main rugueuse, ce n'étaient plus des caresses que je lui administrais mais des sévices. Ses grosses couilles pendantes, les mêmes que celles de Lucas, dansaient dans tous les sens et il ne s'en formalisait pas. N'importe lequel des mecs de mon groupe, moi y compris, aurait crié de douleur, pas lui. Je commençais à avoir peur pour mon cul, peur qu'il lui faille encre me laminer comme un taré pour réussir à obtenir la satisfaction qu'il se sentait en droit de recevoir de moi. Je suis connu pour être un baiseur assez dur, j'aime bien quand ma bite entre et sort complètement du trou que je pénètre, j'aime bien les cadences soutenues, mais lui devait être pire qu'un ...
... lapin. Un marteau piqueur près à tout pour laisser échapper sa semence. J'accélérais mes vas et viens, j'ai bien cru que j'allais emporter une des boules métalliques dans un mouvement mais il tiqua à peine. Je me demandais s'il était excité par le fait que je sois un pote à son fils ou si c'était ma jeunesse qui le faisait bander mais en fait il n'en était rien. Il empoignait à pleine main mon torse, caressait mes poils et commentait : "t'en a des poils maintenant” ou encore “ton foutre doit être épais !”. Descendant le regard, il ajoutait “et regarde moi cette queue !” en reluquant mon engin qui pontait à nouveau vers lui. Je sentais qu'il avait envie de s'en saisir, peut être même de se le prendre, mais que quelque chose le retenait. Pour lui, je n'étais encore qu'un disciple, un vide couille qu'il fallait éduquer. - Pourquoi t'as toujours pas trouvé de femme pour apprécier ta grosse queue? - Me demanda-t-il. Il ne s'attendait pas à ce que je réponde, c'était juste pour lui une forme de lamentation, un blocage. S'il avait pu me faire baiser la voisine sans capote pour l'engrosser sur le champ, il l'aurait fait, juste pour se défaire de l'impression qu'il avait de gâcher le foutre d'un tout jeune homme. Il ne me sucerait pas, il ne me laisserait pas non plus me branler pendant la sodomie qu'il allait m'administrer encore. La main serrée sur sa bite, je continuais à en lécher le bout, l'aspirant profondément, le pompant au sens propre du terme en attardant la langue sur le métal ...