1. Tes yeux , mon âme


    Datte: 06/09/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, profélève, Collègues / Travail école, amour, revede, pénétratio, init, amourdura, initfh,

    ... qu’il me regardait discrètement avec gourmandise, ce qui décupla mon courage pour m’approcher encore plus près. J’ai perçu que ma présence près de lui le troublait, et je bénis cette petite robe pour l’effet qu’elle provoquait. Me prenant la feuille des mains tout en effleurant mes doigts, il se pencha pour signer. Le fameux étudiant qui me regardait m’interpella. Une peur sourde s’insinua en moi. Nous avait-il vus ? En m’approchant de lui, je remarquai qu’il avait un mal fou à me fixer dans les yeux. Mon décolleté, laissant apparaître le haut de mes petits seins fermes, aimantait son regard. Oui, c’est un des plus grands drames de ma vie : ma poitrine. Trop petite à mon goût, mais qui ne laissait pas à désirer quand même, surtout mise en valeur dans ma robe… B. leva furtivement la tête, puis fit mine de s’intéresser à ma feuille, mais je savais qu’il écoutait attentivement. — Hem salut, écoute, ça te dit pas qu’on sorte de la salle ? J’ai un truc à te dire. Sentant B. s’agiter derrière je rétorquai : — Non j’ai encore toutes mes affaires ici, et ma feuille à récupérer, et je ne pense pas que le prof va vouloir attendre que je veuille bien quitter la salle pour partir…— Oui, c’est vrai, dit-il dans un rire forcé. Il se mit à parler plus bas : ça te dirait, si un jour tu as du temps libre, de sortir quelque part boire un verre avec moi ? Je t’invite, dis-moi tes disponibilités si tu en as envie. Je suis restée un peu interloquée, mais j’ai réussi à répondre : — C’est ...
    ... vraiment gentil de ta part, mais tu sais, on va bientôt être en période d’examens et je n’ai toujours pas commencé mes révisions… Donc le temps libre en ce moment, il n’y en a pas… désolée… Sa figure s’affaissa quelques secondes puis il reprit contenance : — OK, OK, oui c’est vrai, faut réviser… Bon bah, une prochaine fois alors, tiens-moi au courant si jamais tu trouvais une petite heure. Allez, je file… Bon après-midi à toi ! Ne me laissant pas le temps de répondre, il réajusta son sac et partit. Aussitôt l’ambiance électrique remonta en flèche. J’ai pris mon temps pour me retourner, retrouvant avec délice ses yeux rivés sur mon corps, faisant remonter mon désir en flèche. Bon dieu, quel charme fou il avait ! Il me fit un sourire en coin qui acheva de me liquéfier. Les papillons dans mon ventre s’agitaient comme des dingues pendant que je me rapprochais du bureau. — Vous ne faites pas que tourner la mienne, de tête, à ce que je vois ! me lança-t-il, moqueur. Je suis restée stupéfaite par le son de sa voix, aussi sensuelle que du miel. Les mots qu’il avait prononcés signifiaient clairement que tout ce que j’avais imaginé était sur le point de se réaliser. Je suis restée muette, un peu interdite de la bonne tournure que prenaient les événements. Mon fantasme tant imaginé se réalisait. Ma vie allait changer. Le désir de lui appartenir allait enfin être assouvi. Je n’ai rien pu dire, tant j’étais clouée sur place. Ne me voyant pas réagir, il est allé vers la porte pour la fermer. Mon ...
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