1. Tes yeux , mon âme


    Datte: 06/09/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, profélève, Collègues / Travail école, amour, revede, pénétratio, init, amourdura, initfh,

    ... cœur s’est emballé. J’avais tellement envie de lui ! Quand il m’a rejointe, il a plaqué son corps derrière le mien, agrippant mes hanches. J’ai senti sa chaleur à travers le fin tissu de ma robe. Mon état était proche de la folie tellement je le désirais. J’ai senti la bosse de son pantalon contre mes fesses, ce qui me fit sourire. Il a enfoui son visage dans mon cou, sentant mon odeur, goûtant à la douceur de ma peau. Ses mains se sont mises à descendre vers le bas de ma robe, puis elles passèrent en dessous, me caressant les cuisses comme une plume. La douceur de ses mains m’envoyait des décharges électriques dans le ventre, je n’avais qu’une envie, m’offrir à lui. Ses mains glissaient en dessous de ma robe, caressant maintenant l’intérieur de mes cuisses. Je sentais son érection de plus en plus dure dans mon dos. Qu’est-ce que ça devait être ! pensais-je avec un sourire coquin. Sa bouche déposait des baisers timides sur la nuque, le cou, la mâchoire. Puis les baisers se firent de plus en plus appuyés. Je me suis retournée, plaquant mes seins contre son torse. J’avais du mal à réaliser ce qui se passait, que je n’étais plus dans mes fantasmes mais dans la réalité. Il m’a regardée alors avec une telle intensité que ma mémoire en restera à jamais gravée. Malgré ses yeux luisant de désir il me dit : — Je suis peut-être un peu vieux pour vous, bien que je sois flatté de vous plaire… Et, qui plus est, vous êtes une de mes étudiantes, je suis votre professeur, vous êtes certes ...
    ... majeure mais je risque quand même gros. J’ai une famille et des enfants… Je ne devrais pas me laisser emporter comme ça… Vous êtes jeune, bien que belle à damner un saint… Mon dieu qu’est-ce que je fais, je suis fou ! continua-t-il dans sa langue. Ses paroles contredisaient ses gestes. Il me caressait le bas du dos avec une lenteur qui décuplait mon envie de l’embrasser. Restant plaquée contre lui, je lui dis : — La différence d’âge ne me fait pas peur. Je vous désire tel que vous êtes, parce que vous me plaisez énormément, un point c’est tout. Si tout cela vous freine, vous êtes libre d’arrêter, mais sachez que vous serez responsable de ma mort tellement je me consume… dis-je avec un sourire, réprimant toutes mes questions sur sa vie que je connaissais à peine. L’attraction entre nos deux corps était tellement forte que l’heure des questions viendrait plus tard. Je crois que mes paroles l’ont convaincu, où alors mon sourire, parce qu’il me souleva et me porta jusqu’au bureau. J’enroulai mes jambes autour de sa taille, ma robe se souleva, dévoilant mes jambes nues et je pus sentir pleinement son érection contre mon shorty, ce qui le fit frémir puissamment. Les veines de son cou saillaient, tellement il luttait pour se contenir. Et moi, j’allais prendre feu s’il ne venait pas éteindre l’incendie qu’il avait déclenché. Il m’assit sur le bureau, embrassant mon cou, ma gorge, le haut de mes seins. C’est alors qu’il s’est relevé, a glissé une de ses mains sous la robe pour venir ...
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