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Monstrueuse - Annick se dévoile
Datte: 20/09/2019, Catégories: f, h, revede, odeurs, Masturbation journal,
A l’époque où se situe cette histoire, j’allais très souvent chez mon copain Philippe, c’était pour ainsi dire mon meilleur ami. Il avait une sœur qui s’appelait Annick et qui était affublée d’un bien curieux visage, on aurait dit un bec de lièvre, un non-moins vilain nez, une malformation congénitale. Autant dire que les garçons ne se pressaient pas à sa porte. La famille se voulait rassurante, la chirurgie pouvait faire des miracles et lorsque son visage serait définitivement formé, on pourrait l’opérer et lui ôter cette disgrâce. Je crois surtout qu’ils étaient fauchés et qu’ils ne se dépêchaient pas de faire appel aux esthéticiens. Ceci étant, pour une jeune fille de 18 ans qui voit ses copines s’amuser comme des folles aux bras des garçons, cela ne devait pas être gai tous les jours pour elle. En ce qui me concerne, moi, Annick, je l’aimais bien. Je la trouvais pleine de sensibilité et la grande fragilité qui était en elle était là pour me séduire. De là à dire que j’aurais été plus loin, à lui faire des avances et à sortir avec elle, probablement pas : Non je ne l’avais jamais envisagé et puis j’aurais eu trop peur du « Qu’en dira-t-on ? », trop peur d’être montré du doigt. En ce qui me concerne, j’étais handicapé par une grande timidité je n’avais pas trop de copine à l’époque, contrairement justement à mon copain Philippe qui, lui, levait fille sur fille. Mais non, quand même, Annick ne m’avait jamais fait fantasmer, je n’avais jamais même pensé à elle. C’était une ...
... pauvre fille, probablement mal dans son corps, mal dans sa peau, mal dans sa tête, elle avait toute ma sympathie et c’est tout. Un jour, je me pointe chez Philippe, nous devions travailler sur un dossier pour la fac. Mais ce salopard avait encore levé une meuf et m’avait fait faux-bond une fois de plus. Il n’avait même pas pris la peine de me prévenir de son forfait ! Il fallait quand même que je travaille sur ce dossier, il nous restait juste deux ou trois jours. Sa mère m’a dit de monter, de faire comme chez moi, qu’il n’y avait pas de problème. J’étais un petit gars comme il faut et ils pouvaient avoir confiance, je pouvais rester tout seul à garder la maison. N’en jetez plus, j’ai horreur des compliments. Quoiqu’il en soit, c’est certain, je pouvais m’installer, prendre mes aises et, si je désirais quelque chose, il me suffisait de le demander. Je suis monter dans la petite salle à manger mais, pour dire vrai, je n’avais pas vraiment envie de m’y mettre. Avec Philippe, peut-être mais tout seul cela me faisait vraiment chier. Je ne sais trop quelle mouche m’a piqué ce jour là, ni pourquoi je me suis mis à faire le tour de l’appartement. Probablement parce que je savais bien en moi-même que je n’étais pas vraiment le bon petit gars, gentil et serviable que les autres voyaient en moi. Bien au contraire, j’ai toujours été un vilain curieux et un affreux fouilleur. Je le reconnais : c’était vraiment dégueulasse de fouiner ainsi dans l’appartement de ces gens qui me faisaient ...