1. Monstrueuse - Annick se dévoile


    Datte: 20/09/2019, Catégories: f, h, revede, odeurs, Masturbation journal,

    ... entièrement confiance. Ils m’accueillaient à bras ouverts et je faisais presque partie de leur famille. Et moi j’étais le vilain petit canard qui cachait bien son jeu… J’ai donc fouillé dans l’ordre : _ La chambre de Philippe qui était bien à son image, l’image de la petite bourgeoisie triomphante avec sa panoplie d’idoles. _ La chambre des parents remplie de vieux mobilier désuet et froid _ Et enfin la chambre d’Annick qui était encore celle d’une gamine. Remplie de peluches et ornée de posters débiles. J’allais arrêter là mes investigations lorsque je trouvai, posés sur une chaise, quelques sous-vêtements et en particulier une petite culotte visiblement déjà portée si j’en juge par la tache jaune qui ornait son entrejambe. Mon instinct m’incita à la porter à mon nez et la renifler. Elle était bien odorante et ce n’était pas de la pisse mais un parfum beaucoup plus intime. Comme quoi la bougresse avait aussi des envies cachées, ce qui m’émoustilla, je dois dire, quelque peu. De pauvre fille elle devint presque tout d’un coup petite salope. Je retournai dans la salle à manger puis je me ravisai et rebroussai chemin. « Petite coquine » : cela trottait dans ma tête. 18 ans, c’était l’âge où la plupart des filles remplissaient des journaux intimes, j’aurais bien voulu savoir ce qu’elle y mentionnait. Avec une petite culotte odorante, elle devait être pleine d’envies salaces. Moi-même je tenais un cahier avec mes réflexions et mes fantasmes, souvent tournés vers le cul et ...
    ... l’érotisme. Et pour que mes parents ne tombent pas dessus, je jouais d’ingéniosité en trouvant des planques pas possibles. De même pour ma collection de livres de culs ou pour les barrettes de shit… j’étais Jojo la planque, le roi de la dissimulation. Mais elle, Annick, où cachait-elle ses trésors. Forcément dans un endroit où personne n’aurait l’idée de chercher. En palpant un vieux pantin poussiéreux affalé dans un coin, j’ai trouvé que son dos était bien dur et bien lisse. Euréka, on pouvait dégrafer la première enveloppe de la marionnette et derrière cette enveloppe se trouvait un cahier… Je commençais à en tourner les pages lorsque j’ai entendu du bruit dans l’escalier. Merde, vite, quelqu’un montait. Je n’avais nulle envie d’être pris la main dans le sac. J’ai rhabillé le pantin en quatrième vitesse sans prendre le temps de remettre le cahier et j’ai filé dans la salle à manger : Cahier et culotte rapidement glissés dans ma sacoche comme si de rien n’était. Je les remettrais après, évidemment. Il s’agissait du beau Philippe, il s’excusa pompeusement de m’avoir ainsi laissé tomber. D’autant plus qu’il n’avait pas spécialement envie de bosser. Tu parles, il devait avoir trop baisé ! Finalement, pour la forme, on s’y mit un petit quart d’heure, puis on décida d’un commun accord d’aller au ciné. En bas on trouva Annick et sa mère. À Annick je fis un baiser un peu plus appuyé qu’à l’ordinaire en me disant « Toi, ma coquine, tu caches bien ton jeu ». Nous sommes donc allés au ciné ...