Monstrueuse - Annick se dévoile - Histoires de Sexe

Monstrueuse - Annick se dévoile

... et ensuite je suis rentré chez moi. Le lendemain, en arrivant en cours, j’ouvre la sacoche et me retrouve nez à nez avec la culotte. Merde je l’avais oubliée celle-là. Et le cahier, j’avais aussi son cahier journal. J’ai poussé discrètement la culotte vers le fond et j’ai feuilleté les premières pages du cahier. Pas grand chose d’intéressant dans tout ça, elle en voulait à ses parents à cause d’une crasse qu’ils avaient faite à sa grand-mère, ensuite ça parlait d’une copine qui lui faisait la gueule. Rien de bien passionnant, j’ai refermé le journal, l’ai glissé dans mon sac, le prof venait d’arriver. Philippe était en retard comme à son habitude. Il s’est pointé à 11 heures, la mine enfarinée et les mains dans les poches — Mauvais jour aujourd’hui… Ca a commencé ce matin par Annick qui a piqué une crise et qui m’a fait toute une scène parce qu’elle a perdu un cahier. Ensuite j’ai eu Roseline qui m’a vu traîner avec une autre fille et qui ne veut plus entendre parler de moi. Et pour terminer, à l’instant je viens d’avoir un accrochage devant la fac avec la voiture du pater.— Mauvais jour en effet J’imaginais le désarroi d’Annick quand elle s’était aperçue de la disparition de son cher cahier. — Annick était en rogne ?— Pfff, elle disjoncte complètement, il paraîtrait que j’aurais fouillé dans ses affaires et que je lui aurais volé quelque chose. Complètement tarée ce matin, qu’est-ce que j’en ai à foutre de ses posters à 10 balles— Elle a quel âge au juste ?— Dix-huit, ...

... bientôt dix-neuf, c’est son anniversaire à la fin du mois. Mais plus elle vieillit, plus est disjoncte. C’est pas ma faute à moi si elle est moche.— Tu devrais la protéger, c’est ton rôle de grand frère.— Elle m’empoisonne la vie depuis près de 20 ans. Tu t’en occuperais toi ?— Moi j’aime beaucoup Annick, je la trouve émouvante. Au fait, elle a une adresse e-mail ? J’aimerais beaucoup lui écrire un petit mot pour son anniversaire.— Oui elle en a une, comme nous tous : annick.vassord@aol.com Et lui c’était philippe.vassord@aol.com. Evidemment, j’aurais dû y penser. A l’époque, Internet n’était pas aussi développé qu’aujourd’hui. Nous avions la chance d’habiter une grande ville et de bénéficier du tarif local, ce qui était loin d’être le cas de tout le monde. La famille de Philippe avait pris un abonnement chez Aol et j’avais convaincu mon père de faire de même. Le soir, après dîner je me suis installé dans mon lit j’ai ouvert ma sacoche, bien décidé à réviser mes cours. Mais j’ai vu la culotte et je l’ai reniflée. L’odeur était plus diffuse mais elle sentait encore fort. Elle sentait la chatte humide, la foufoune de salope. Humm, j’ai astiqué ma queue en pensant à Annick, allant même jusqu’à l’imaginer en train de se branler. La tête sous l’oreiller comme on dit. Quelle vilaine pensée, j’ai essayé de la chasser de mon esprit sans trop y parvenir. Je me sentais vraiment « dégueulasse ». Humm quel fumet ! Je me suis branlé un peu la queue avec sa culotte puis j’ai arrêté, de peur de ...