1. La baise à la marseillaise (1)


    Datte: 22/09/2019, Catégories: Trash,

    ... par le bras et me tira vers lui avec force. — Où tu crois aller comme ça ? Tu viens peut-être d’avaler des kilomètres de bite, c’est pas pour autant que j’en ai fini avec toi ! Pour illustrer son propos, il me plaqua contre le mur et me fit tendre mon cul tout tremblant d’excitation vers lui. Je plaquai mes mains sur la paroi, et le regardai dans mon dos m’enlever ma culotte. Aussitôt qu’elle eut rejoint mon pantalon par terre, l’air ambiant caressa mes lèvres vaginales ultra-gonflées qui dépassaient de ma fente. Mon Marseillais à grosse queue passa les doigts dedans et lâcha une exclamation : — Mais tu es unepetite pute vraiment mouillée, dis-moi ! C’est moi qui te fais cet effet ? Y’en a tellement que ça te coule sur les cuisses, j’adore ça ! Il passa ensuite son gland entre mes lèvres et je me cambrai. J’en avais tellement envie que son absence à l’intérieur de moi était devenu douloureux et que mon vagin convulsait. Oula… Il allait se faire plaisir en rentrant. Moi, je me demandais s’il n’était pas trop épais pour rentrer… Mais j’en avais trop besoin ! — Aller, nique-moi ! je l’encourageai. Je ne peux plus attendre, c’est trop dur… J’ai vraiment besoin qu’une bite bien gonflée comme la tienne me démonte de l’intérieur ! Mais il continuait de torturer l’extérieur de mon sexe. — Quand on est la reine des salopes comme toi, on ne demande pas, on supplie, dit-il mesquinement. Fais-le ! Supplie-moi de te prendre comme une esclave ou tu n’auras rien. Je m’exécutai et il me ...
    ... griffait les fesses avant de les gifler. — Tu me regardes dans les yeux et tu répètes tout ce que tu viens de dire ! C’est trop facile sinon. Et appelle-moi maître, j’aime bien. Ça va te rendre encore plus pute. Encore une fois je lui obéis comme une bonne fille bien dressée et, d’un coup d’un seul, il m’empala sur son membre monstrueux. Je poussai un cri de douleur car il venait de m’écarteler les parois comme jamais d’une traite. On aurait dit que je venais de me faire déflorer une seconde fois mais en fait, il était juste beaucoup plus imposant que mon petit-ami de merde. — Pas si fort, maître ! je protestai en haletant. — C’est toi qui l’as voulu, sale salope, tu as la mémoire courte. Maintenant, tu assumes ! ncynsspi Et sans cas de conscience, il m’envoya des coups de butoir qui me firent rebondir contre le mur en criant la jouissance que ça lui procurait. C’est sûr que je devais être serrée pour lui ! Au bout d’un petit moment, je n’avais plus mal, je me mis même à apprécier plus que de raison son pilonnage furieux. Oh oui, il me labourait vraiment bien ! Mes cris se mêlèrent au siens, et ça nous excita encore plus tous les deux. Ni l’un, ni l’autre n’avions plus peur d’être surpris, après tout, ce bâtiment était presque vide et même si quelqu’un nous avait vus, nous n’aurions pas pu nous arrêter. Sans prévenir, j’atteignis le summum du plaisir et jouis autour du Marseillais. Même si j’étais devenue pantelante et presque incapable de tenir debout sous l’intensité de ...
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