Ecole du sexe (20)
Datte: 22/09/2019,
Catégories:
Hétéro
... s’agenouilla devant moi et posa sa main sur mon bâton de désir. Une petite décharge électrique parcourut mon corps lorsqu’elle entama une série de mouvements horizontaux, dans un sens puis dans l’autre, en serrant mon membre entre ses doigts de fée. Je fermai les yeux et me laissai aller au plaisir. Alice accéléra la cadence jusqu’à atteindre un rythme réellement rapide. Je ne fus guère long à atteindre le point de non retour et le lui fis savoir. Elle plaça alors sa bouche à la sortie de mon uretère et attendit de recevoir son offrande. Lorsque je me sentis plus léger, mon membre dégonfla et se retrouva pendouillant entre mes jambes devant une Alice qui, dans un bruit de déglutition, avala ce qu’elle avait dans la bouche. -Et ne me fais pas ce coup devant mon père, me dit-elle sérieusement. Sinon, il va penser qu’on ne pense qu’à baiser. C’était pourtant ce que nous avions fait pendant un an. Baiser. Encore et encore en faisant varier les plaisirs et les jeux. Mais aujourd’hui, nous étions en vacance chez les parents d’Alice, et notre quotidien allait inexorablement différer par rapport à ce dont nous nous étions accoutumés à l’école. Nous sortîmes de la chambre d’Alice comme si de rien n’était. Ma petite amie fit tout de même un saut dans la salle de bain afin de se brosser les dents et effacer l’odeur phallique de son haleine matinale. Je l’attendis et, peu après, nous descendîmes un escalier en bois d’une vingtaine de marches encadré entre deux murs. Sur lesdits murs, des ...
... cadres anthracites contenant des photos de famille et des portraits d’enfants étaient accrochés. Je les regardai en passant. Ainsi je sus qu’Alice avait une petite sœur. Elle ne m’en avait jamais vraiment parlé. Mais après tout, je ne lui avais jamais demandé non plus. -Comment s’appelle ta sœur ? lui demandai-je. -Je vois que les photos te plaisent, me répondit-elle. Elle s’appelle Claire. Mais ne cherche pas, elle a seize ans. -Attends, tu ne prétends quand même pas que j’ai pu penser à …. -Non, je te préviens, c’est tout, ricana-t-elle. En fait, je te dis ça parce qu’elle a tendance à s’habiller de façon, disons, provocante. -Dixit celle qui ne s’est pas du tout habillée pendant un an, ris-je. Elle ne me répondit pas mais se contenta de sourire en secouant la tête. Lorsque nous eûmes fini de descendre les marches, nous arrivâmes dans un autre couloir, d’environ deux mètres de longueur, au bout duquel nous aperçûmes la famille d’Alice. Ils étaient assis à une table recouverte d’une nappe blanche. Un panier en osier était posé en son centre. Des viennoiseries, notamment des pains au chocolat et des croissants, s’y trouvaient. Nous nous approchâmes et longeâmes le couloir pour entrer dans la pièce qui, d’après le four, le micro-onde, le lave-vaisselle et le réfrigérateur, ne pouvait être que la cuisine. Alice salua tout le monde et obtint une réponse. Plus timidement, je les saluai et me présentai : je ne les avais encore jamais vus. En effet, la veille, nous avions passé la ...