Ecole du sexe (20)
Datte: 22/09/2019,
Catégories:
Hétéro
... totalité de la journée dans un bus nous conduisant à Toulouse, là où habitait Alice. Nous n’étions rentrés chez elle que très tard, dans la nuit. Le père d’Alice, Didier, un homme approchant de la cinquantaine, me rejoignit et me tendit une main que je serrai. Il avait de la poigne, me dis-je. Cela n’était pas forcément évident, mais à travers son pull-over gris à rayures et son pantalon marron se cachaient quelques bras musclés. Il portait des lunettes couvrant ses yeux bleus, et ses cheveux, bruns virant au gris à cause de sa longévité, commençaient à se faire rares au sommet de son crâne. Ensuite, se fut la mère de ma dulcinée qui se présenta. Elle me fit la bise et me donna son nom : Lætitia. Elle avait des cheveux châtains coiffés en un chignon et portait une légère robe rose aucunement audacieuse. Elle se rassit et laissa la sœur d’Alice, la fameuse Claire, se dévoiler à mes yeux. Effectivement, son style vestimentaire était intéressant. Un tee-shirt dont le col, bien trop grand, laissait ressortit les bretelles de son soutien-gorge que je devinais blanc. D’ailleurs, un petit bout de ce sous-vêtement ressortait de sa prison textile. Elle portait également un leggings moulant ne cachant pas la marque de sa culotte qui, d’après l’épaisseur de la ficelle, semblait être fine. Ses cheveux, roux et ébouriffés, se balançaient tandis qu’elle me fit la bise. -Alors, c’est toi le mec d’Alice, me dit-elle d’une voix neutre. -Oui, c’est moi, répondis-je gêné. Bastien. Enchanté de ...
... vous rencontrer. -Et vous faisiez quoi, dans cette école ? me demanda la sœur. -Claire ! Nous en avions pourtant discuté ! Nous n’aborderons pas le sujet, la gronda son père. -Mouais. Pourtant, les mecs n’ont jamais beaucoup de mal à parler des exploits de leurs bites, dit-elle en se reculant légèrement. Sa mère lui lança un regard glacial, mais ce n’était rien par rapport à celui que lui lançait Alice. Elle me prit la main, mais j’ignorai si c’était pour me soutenir ou pour la contenir. Sans doute les deux. -Désolée pour ça, me dit alors la mère d’Alice. Ne t’occupe pas de Claire, elle a décidé d’être désagréable. Viens plutôt t’asseoir et petit-déjeuner avec nous, nous vous avons laissé de la place. Je les remerciai et m’assis sur l’une des chaises, en bois peint en blanc, placées autour de la table. Je piochai alors un croissant dans le panier et tout le monde se servit. On me proposa un bol de chocolat chaud que j’acceptai poliment et avec le sourire. Je pus alors tremper ma viennoiserie dans le contenu de mon bol avant de la manger goulûment. Un verre de jus d’oranges accompagna le tout, et j’étais repu, du moins pour la matinée. Je remerciai la famille pour le repas et aidai à débarrasser la table. Je pus alors entendre Claire me qualifier de suce-bite. Ne voulant pas créer d’histoires le premier jour, je l’ignorai royalement et achevai de ranger mon bol dans le lave-vaisselle. -Ton petit-ami est toujours aussi serviable ? demanda alors Lætitia à sa fille. -Je ne sais ...