1. L'art de ma femme de me faire cocu


    Datte: 22/09/2019, Catégories: extracon, cocus, Voyeur / Exhib / Nudisme

    J’ai 37ans, mon épouse a 29 ans. Mais en plus, elle a un physique qui la fait paraître encore plus jeune, c’est donc avec bonheur qu’elle s’habille sexy. Oui, autant le dire tout de suite, j’adore quand ma femme est habillée sexy. J’adore quand les autres hommes la regardent, la désirent. Je vais peut-être en choquer quelques-uns qui penseront que ce n’est pas normal, mais j’adore aussi quand ma femme s’offre à d’autres. Donc, on peut dire que je suis un cocu heureux. Je suis bien incapable de dire pourquoi j’aime ça, mais comme Nadine s’est faite à cette idée et qu’elle y trouve son plaisir aussi, on continue sur cette voie. Cela fait maintenant presque 3 ans que Nadine a eu son premier amant, et je m’en souviens encore comme si c’était hier. C’était un petit jeune qui l’avait invitée à danser dans une boîte, et, quand il lui a fait des avances, Nadine s’est laissée faire. Assis à quelques mètres, je les voyais danser sur la piste, je voyais l’homme la serrer, faire glisser ses mains sur son corps et, quand je croisais le regard de ma femme, je voyais son regard brillant de malice, un peu surprise d’oser de se laisser faire, mais visiblement heureuse de m’offrir ces instants. Je voyais l’homme lui murmurer à l’oreille, lui arrachant quelques sourires, et, quand sa tête s’est penchée vers elle, elle n’a pas dérobé ses lèvres. Leur baiser a duré de longues minutes, au rythme de la danse. Je ne comprenais pas pourquoi, mais j’étais heureux, follement excité du plaisir que ma ...
    ... femme me donnait par personne interposée. J’imaginais sa langue s’insinuant entre les lèvres de ma femme, je voyais ses mains de plus en plus entreprenantes dans leur étreinte… Ma plus grande surprise fut de voir Nadine revenir à notre table après la série de slows… revenir en tenant l’inconnu par la main ! Elle me le présenta - Philippe - et elle fit signe à l’homme de se glisser sur la banquette. Elle prit place à côté de lui, se lovant dans ses bras. Je ne savais pas du tout ce qu’elle lui avait dit. Je lui tendis un verre et assistai, impuissant, à la progression de celui qui allait me faire cocu. Après coup, Nadine m’avoua qu’elle lui avait bien dit que j’étais son mari, mais que j’étais très libéral ! C’est le cas de le dire ! Toujours est-il qu’il ne s’en est pas formalisé. Elle avoua aussi que, par peur de ne pas aller jusqu’au bout cette fois-ci aussi (cela faisait déjà 3 fois qu’elle s’était laissée draguer en boîte, mais, à chaque fois, après quelques caresses, elle avait renoncé) elle s’était jetée comme quand on se lance dans le vide, avec l’envie d’aller de l’avant, quoi qu’il se passe. L’homme continuait à l’embrasser et glissait sa main sous le chemisier, vers les seins qui pointaient fièrement dessous. À travers le tissu, je pouvais deviner sa main qui enrobait ses mamelons, qui en titillait les pointes. Je n’avais jamais vu ma femme dans cet état, elle semblait comme électrisée, ses yeux brillaient comme jamais. Je sentais dans son regard comme un défi, c’est ...
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