L'art de ma femme de me faire cocu
Datte: 22/09/2019,
Catégories:
extracon,
cocus,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... bien sûr. Bien sûr que j’étais d’accord ! Je ne demandais même que ça ! J’avais enfin la femme que je souhaitais dans tous mes rêves. Je compris vraiment à quel point cette soirée avait changé Nadine. Timide sur les choses du sexe, voilà qu’elle se mettait à en parler comme si elle ne pensait qu’à ça. Elle me glissait à l’oreille des mots du style : — Tu as vu ce mec ? Pas mal, hein ? Tu aimerais qu’il me saute, hein ? Ou alors : À mon petit mari cocu, tu es content d’avoir une femme comme moi… Le mot « cocu » lui plaisait particulièrement. Ce n’était pas du tout méchant, peut-être un peu moqueur, mais surtout elle savait que c’était moi qui l’avais voulu et donc que j’aimais cette sensation et que, chaque fois qu’elle employait ce mot, ces sensations se ravivaient. Après cette soirée, je n’ai pas eu à le redemander à Nadine. Nous sommes retournés 4 ou 5 fois en boîte et, à chaque fois, Nadine me cocufiait de plus belle. Et puis, il y a eu les vacances. Nous avions loué un petit appartement sur la côte. Là, elle s’est vraiment éclatée. Le meilleur, c’est quand, un après-midi, elle est partie faire quelques boutiques. Moi, j’en ai profité aussi pour aller faire un tour. Quand je suis rentré, Nadine était déjà là. Mais dans la chambre… et en compagnie. Par la porte entrebâillée, je pouvais les voir, nus sur le lit. Je ne vous dis pas le choc que cela m’a fait. Discrètement, je suis rentré et j’ai refermé la porte de l’appartement, puis je me suis dirigé vers le salon en ...
... faisant le moins de bruit possible ; je me suis servi un whisky, y mettant même une forte dose de glaçons pour éteindre le feu qui semblait remplir mon corps. Et j’ai attendu, attendu et entendu… Je ne savais pas que Nadine pouvait être aussi bruyante en amour ; je suis resté une bonne demi-heure comme cela ; enfin, j’ai vu la porte s’ouvrir et ma femme nue apparaître dans la pièce. — Ah, tu es rentré, chéri ?— Oui, je viens d’arriver.— (tirant le mec par la main pour le faire rentrer dans le salon aussi) C’est Cédric. Je l’ai rencontré cet après-midi… Mon mari…— Bonjour.— Bonjour. Il était aussi nu qu’elle et, la situation l’ayant pris au dépourvu, il ne savait pas où se mettre. En tout cas, il était bien monté ! — Je vous sers un verre ?— Vo… volontiers…, je vais m’habiller un peu avant. Nadine était ravie de cette situation, enchantée de l’avoir provoqué. Parce qu’il n’y avait aucun doute, le coup était bien prémédité. Par contre, c’était évident qu’elle n’avait pas prévenu son amant. Cédric est revenu, habillé et un peu gêné, et a pris place à la table du salon. Je lui ai tendu un verre. Toujours aussi nue, Nadine s’est assise à côté de lui, lui passant un bras autour des épaules, et nous raconta comment ils s’étaient rencontrés. Cédric était à la terrasse d’un bar lorsqu’elle est passée devant lui. Il lui a proposé de boire un verre avec elle ; comme elle le trouvait très mignon, elle a accepté… et puis elle a trouvé que ce serait plus sympa s’il venait le boire à la maison… — ...