1. L'art de ma femme de me faire cocu


    Datte: 22/09/2019, Catégories: extracon, cocus, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... comme si elle avait voulu me dire : — Regarde ! c’est toi qui l’as voulu ! et bien tu vois, j’ose ! ça t’étonne, hein ? L’homme finit même par poser une main sur sa cuisse, puis la remonta sous la jupe. Nadine le laissait faire, presque indécente par sa manière d’ouvrir les cuisses aux caresses. J’en avais rêvé, mais je ne pensais pas un jour assister à ça. C’était juste des histoires qu’on se racontait sur l’oreiller, une manière de rechercher une excitation spéciale. La scène a duré, duré… J’ai fini mon verre, j’en ai pris un autre. J’arrivais à voir par moments la dentelle du string de ma femme et à deviner les doigts glissés dessous. Nadine prenait même si peu de précautions que je n’étais pas le seul à profiter du spectacle. Je voyais les hommes assis à la table voisine, leur regard dirigé vers l’entrecuisse de ma femme. Et puis le charme s’est arrêté ! L’homme a glissé quelques mots à l’oreille de ma femme. Nadine m’a regardé, il y a eu comme une minute de silence (enfin, silence dans ma tête !), car la musique continuait, toujours aussi assourdissante. Nadine s’est penchée vers moi en faisant le mouvement de se lever. Et j’ai entendu ces quelques mots : — On sort quelques minutes ! Ben voilà ! C’était décidé. Nadine allait aller jusqu’au bout de ma folie. Le « cocu dans les rêves » allait vraiment le devenir ! J’étais comme paralysé. Je les regardais s’éloigner dans la foule. J’hésitais, j’hésitais encore. Qu’est-ce que je devais faire ? Me lever et les suivre pour ...
    ... voler cet instant intime qu’ils allaient s’offrir ? Ou alors, attendre, attendre de longues minutes et penser à ce qu’ils pouvaient bien faire. Mais plus je pensais à ça et plus je restais immobile pour finalement me dire que je n’avais plus le choix, ne sachant pas où ils s’étaient dirigés ! Je suis resté presque une heure à attendre. Quand enfin j’ai vu ma femme revenir, seule, j’avais l’impression de la redécouvrir ; il se dégageait d’elle un je-ne-sais-quoi, elle semblait rayonner de plaisir, de bonheur. C’était comme quelqu’un qui avait brisé toutes les chaînes, tous les tabous qui l’habitaient. Et qui, soudainement, se sentait libre. Avec un large sourire, elle reprit sa place, face à moi. Et d’une petite voix coquine, elle me dit : — Ça va ? Je n’ai pas été trop longue ?— … (Je ne pouvais répondre que par un sourire !)— Merci, chéri ! tu sais, je t’adore !— Je sais, moi aussi je t’adore. Tu m’as donné la plus forte preuve d’amour, ma chérie !— Tu as aimé alors ?— Bien sûr ! J’ai même adoré !— ( rire malicieux)… moi aussi, c’était bien. Tu avais raison.— Raison pour quoi ?— Quand tu me disais qu’il fallait que j’ose.— Ah, oui, c’est vrai… Entre ses cuisses légèrement entrouvertes, je pouvais voir que ma femme n’avait plus sa culotte. Je pouvais même deviner son excitation à l’humidité brillante de sa fente bien lisse. J’imaginais l’homme y glisser son sexe, la remplir de sa semence… — Et tu aurais envie de le refaire ?— Ben…, ça dépend de toi ! Si tu es toujours d’accord, ...