Mélanie, étudiante à Bordeaux (19)
Datte: 22/09/2019,
Catégories:
Trash,
Sandrine détala et se positionna rapidement, exposant sans pudeur sonentrejambe recouvert d’une fine toison dorée. Lenoir extirpa lentement le plug qui emplissait toujours son anus ; celui-ci resta entrebaîllé suffisamment longtemps pour que le colosse présente son gland surgonflé et l’enfonce d’un puissant coup de reins. La jolie blonde mordit le drap pour retenir ses cris mais ne bougea pas, tentant au contraire de relâcher ses muscles intimes mis à rude épreuve. Encerclant la taille fine de Sandrine dans ses battoirs, Lenoir se fraya un chemin en elle en deux puissants coups de boutoir. Il s’immobilisa alors, complètement enfoui dans le ventre de son amante, dont la sveltesse contrastait avec le diamètre inusité de son engin. Au premier abord, il se demanda comment il avait pu pénétrer dans un corps si frêle d’aspect. Les sphincters enserraient la base de sa verge, l’étranglant et provoquant une érection encore plus imposante. Il caressa alors le dos frémissant, Sandrine renifla et tourna vers lui un regard trouble, noyé de larmes. Mais elle lui adressa aussitôt un sourire comblé qui le rassura. Elle aimait être possédée de cette manière, et ça tombait bien car lui-même adorait sodomiser ses partenaires. Il la prit lentement, sans à-coup, ressortant parfois complètement avant de revenir posément. Il s’immobilisait ensuite, son pelvis épousant les fesses fermes de Sandrine. Ce qui lui permettait de retarder le moment où il allait se vider : ses couilles lui faisaient mal ...
... tellement il se retenait. Puis il n’y tint plus ; Il se lança dans une cavalcade frénétique, défonçant les reins de la petite blonde de plus en plus fort. Sandrine, les reins dévastés, sentait monter un elle un orgasme monstrueux qui inondait son ventre en feu. Elle se cambra encore plus, s’offrant aux violents assauts qui ravageaient son anus. Puis Lenoir se ficha profondément en elle et poussa un râle de jouissance tout en déchargeant des flots de sperme ; Sandrine cria, fauchée par un nouvel orgasme si fort qu’elle eut un long moment d’absence. Quand elle ouvrit les yeux, elle était dans le lit, sous la couette, blottie contre le corps massif du propriétaire des lieux. — Alors, ça va ? demanda Lenoir. Tu m’as fait peur, quand tu es tombée en avant. — Oui, merci... Je me suis évanouie ? Je veux dire, Monsieur ? — Il semblerait, oui. Je vais chercher une pommade apaisante, tu dois avoir quelques endroits sensibles, non ? — Oui, c’est vrai. Merci, Monsieur... Lenoir se leva et revint avec un gros tube d’onguent dont il enduisit généreusement la poitrine menue de Sandrine, puis son ventre. Il lui demanda ensuite de se retourner et il appliqua soigneusement le produit sur les fesses marquées, caressant et massant lentement. Sandrine comprit rapidement où cela les menait : elle se cambra et écarta les jambes largement. Le colosse plongeadeux doigts joints dans l’anus aux chairs tuméfiées. Bien lubrifiés ses doigts pénétrèrent aisément, bientôt rejoints par un troisième qui arracha ...