1. Mélanie, étudiante à Bordeaux (19)


    Datte: 22/09/2019, Catégories: Trash,

    ... un gémissement à sa proie, gémissement qui n’avait rien d’une plainte. Il fouailla longuement les reins, accompagnant ses actes de commentaires salaces. —petite pute, tu n’es décidément qu’une chienne lubrique, prête à se faire défoncer par tous ses trous. Ton cul est un délice, je vais en faire mon vide-couilles personnel. Et celui de mes amis aussi. L’amitié, c’est sacré ! Puis, bien sûr, il la couvrit et remplaça ses doigts par sa verge monstrueusement érigée. Cette petite femme si menue et si docile lui faisait un effet dingue, il avait une envie folle de la défoncer à nouveau. Surexcité par les râles de plaisir qu’il lui arrachait, il la pilonna à sa guise, sans se soucier de la ménager. Il avait l’impression de pouvoir lui faire subir les derniers outrages sans crainte de la briser : elle était minuscule par rapport à lui, mais sa souplesse et sa résilience lui semblaient infinies. Au petit matin, Lenoir se réveilla avec une sensation délicieuse : Sandrine s’était glissée sous la couette et le suçait façon gorge profonde, ses mouvements de déglutition entraînant une érection phénoménale. Il écarta le tissu et découvrit la petite blonde dont les yeux pétillaient de plaisir. Elle recula et libéra sa verge en reprenant sa respiration. — Bonjour Monsieur. Vous allez bien ? — Très bien, ma petite pute. Tu as passé une bonne nuit ? — Géniale, Monsieur. — Viens m’embrasser, vite. Aussitôt elle bondit sur lui et lui offrit sa bouche aux lèvres gonflées de désir. Il empoigna ...
    ... ses fesses dans ses mains et les malaxa rudement, puis repoussa la petite blonde. — Tu as ton train à quelle heure ? — Onze heures, Monsieur. — Je vais démolir ton cul sans préparation. Comme ça, tu auras un souvenir de moi pendant quelques heures. Mets-toi à genoux, bien cambrée, et écarte tes fesses que je puisse t’enculer. Là, comme ça ; tu es parfaite ainsi, petite pute. Je vais te défoncer... — Ooh mon dieu... C’est trop gros, je... — Tu veux que j’arrête ? — Non, Monsieur. Continuez... Mais vous êtes si épais... Lenoir avait saisi les hanches de la blonde et forcé l’anus de sa matraque de chair. Sans lubrifiant, il peinait à s’imposer, mais ses violents coups de boutoir eurent raison de la résistance des sphincters. Dès lors, il glissa dans l’étroit fourreau et s’enfonça jusqu’à ce que ses couilles battent contre le vagin délaissé. Il était tellement serré dans le ventre de son amante que l’engorgement sanguin dans sa verge provoquait un accroissement de taille et une raideur extrêmes. La blonde suffoquait sous ses assauts virils, pleurant et mordant son poignet pour retenir ses cris, mais elle ne protesta jamais. Totalement offerte, elle gémissait et secouait sa blonde chevelure emmêlée, savourant chaque seconde de cet accouplement violent. L’orgasme qui la faucha, entraînant celui de son cavalier, lui fit presque perdre connaissance, tellement qu’elle ne réalisa pas que Lenoir s’était effondré sur elle et l’écrasait de sa masse. Quand il se laissa tomber à son côté, ...