Bastien - chapitre 2 : made fantasies
Datte: 23/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... chez lui. Mais il n’en a rien été. « on peut prendre ta voiture ? ». Oui bien sûr. Il me guide. On sort de la ville, on aborde la ville suivante, à gauche au feu, tout droit, je ne connais pas ce coin là. Ça ne fait que deux ans que j’ai emménagé dans le coin, alors je découvre un peu. « Prends vers la gauche là ». On continue sur une route qui quitte les lotissements. On borde une rivière, les arbres se font plus nombreux. « Je connais un parc tranquille le soir ». Il me dit de ralentir à l’abord du parc, on longe un mur et il me dit de me garer à proximité de la grille ouverte. « C’est là, viens ! ». On sort de la voiture et nous passons la grille, le chemin monte un peu, de grands arbres bordent le chemin. Nous suivons le chemin jusqu’en haut, il serpente vers des ruines d’une maison – un manoir me dit-il – détruite depuis la guerre 39-45. Il est aux aguets, il fait sombre maintenant mais la lune éclaire tout de même un peu le parc. Personne aux environs, il n’y avait aucune voiture et il n’y a pas de maisons autour. Ça semble réellement tranquille. Nous poursuivons le chemin vers la gauche après la maison. Nous redescendons un peu, le chemin semble faire une boucle. Cent mètres plus bas, il s’arrête et dépose sa sacoche sur un banc. « On va être bien ici ». C’est un coin découvert, il n’y a pas de bosquets ou d’arbres pour nous cacher, mais il semble que nous soyons seuls. « Désapes toi ! ». J’enlève mon t-shirt, il en fait de même. Il pose son pied sur le banc, défait ...
... ses lacets, je le regarde faire. Il enlève ses pompes et baisse son pantalon et son boxer. Je baisse le mien également, il me sourit. Il pose ses affaires sur le banc et m’invite à faire de même. Il remet ses chaussures. Il est vraiment canon, rien que de le voir nu je suis déjà excité, fou de désir et de heureux de savoir que ce beau mec veut coucher avec moi. « Fous-toi à poil là ». Je m’exécute et nous sommes rapidement nus. Il s’approche et me roule un furieux patin. Si je n’étais pas déjà excité par la situation, j’aurais pu bander de suite rien qu’avec ce baiser torride. Sa langue fouille ma bouche, s’enroule autour de la mienne. Ses lèvres appuient sur les miennes, sa salive inonde ma bouche. Mes lèvres se déforment sous la puissante de feu de mon homme. Ses mains ne sont pas en reste : elles parcourent mon corps, mon torse, mon dos, mes fesses, mes couilles, ma queue … tout y passe. Il est chaud bouillant. Son excitation est palpable, pas seulement dans son érection prodigieuse. Tout respire le sexe chez lui. Son envie de me baiser est palpable, je la sens, elle sort par toutes les pores de sa peau. Chaque mouvement de sa part est fait pour me faire monter rapidement et me mettre à l’unisson de son besoin viscéral de me posséder. Il me retourne rapidement, me dit de mettre un pied sur le banc et de ses mains il me fait me pencher. Dans cette position, dès lors qu’il se met accroupi, il a une vision bien claire de ma tendre rondelle et il peut la prendre d’assaut avec sa ...