1. Bastien - chapitre 2 : made fantasies


    Datte: 23/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... délire, me fait partir dans un grand délire de plaisir. Puis il accélère d’un coup, je ne sais plus depuis combien de temps je suis dans cette position, un pied sur le banc, le cul offert. Il attrape mes hanches et donne de violents coups. 1, 2, 3, 4 puis un cinquième. Et là il enchaîne par une accélération de fou. Je décolle sous l’effet de sa force. Je ne sens plus qu’une chaleur intense dans tout mon bas ventre. Mes yeux sont clos. Je vis ses coups de queue dans mon trou. Mon corps tout entier est rythmé par ses mouvements de bite. Je ne gémis plus. Ce ne sont plus que de longs râles continus. Lui aussi respire fort, gémit puis crie quand, dans un ultime effort, il lâche sa crème, son jus d’homme au plus profond de mon cul. Deux puis trois allers et retours finissent de combler sa jouissance. Il attrape ma queue et me branle. Il ne faut pas plus de 4 ou 5 branles pour qu’à mon tour je lâche ma semence sur le gravier. Je suis exténué. Je respire fort. Il lâche ma queue, attrape sa bite et se retire. L’air frais pénètre dans mon cul ouvert et cela me ramène à la douce réalité. Jamais je ne me suis senti aussi vivant. Déjà il se rhabille. Je fais de même. J’ai du mal à retrouver une respiration normale. Mais déjà nous reprenons le ...
    ... chemin pour retourner à la voiture. « C’était bon », ce sera notre seul échange sur ce qui vient de se passer. La suite de la conversation tourne autour de « tu peux me déposer ? » ou « alors tu vis à Paname ? ». Alors que nous arrivons à la grille du parc, nous voyons un jeune homme descendre du parc par l’allée à notre gauche, celle que nous avions empruntée pour entrer dans le parc. Je me demande s’il nous a vus. Il nous dépasse. Il se retourne. Il s’arrête, nous regarde. Il sourit. « Bonsoir … ». Est-ce bien l’heure des politesses ? La seule chose qui tourne dans ma tête est « nous a t’il vu ? ». « Bravo ! » et il fait mine de repartir. Il sort du parc, nous le suivons. Il part vers la droite après ma voiture. Je vais pour ouvrir ma voiture, il s’arrête, se retourne et me regarde fixement. « T’es super endurant ! Wow ! C’était super !». Je souris. Un merci est la seule chose qui sort de ma bouche. « À plus … » ------ Je dépose mon bel amant dans le centre-ville. Il ne sait pas quand il reviendra, il part en Argentine puis en Uruguay pour trois mois. En fait, je ne le reverrai plus. Ce fût notre deuxième et dernière rencontre. Pour ce qui est du jeune voyeur, il ne m’avait pas encore tout dit ! Mais ce soir là, je ne le savais pas. 
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