Bastien - chapitre 2 : made fantasies
Datte: 23/09/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... langue. D’abord elle approche en léchant avidement la surface, comme il lècherait une boule de glace pour en avoir le maximum dans la bouche dès la première lippée. Les suivantes ne seront pas moins avides. Il salive, il humidifie mon trou avant d’enfoncer la pointe de sa langue, durcie pour dépasser les bords du cratère. Il pénètre dans mon antre et à chaque coup s’enfonce un peu plus. Il n’explore pas, il pousse, il ouvre et il mouille mon trou. Son majeur vient aider à la tâche. L’enjeu est clair, il faut rapidement préparer ce trou pour y mettre sa queue bien dure qui n’attend que cela. Il veut la mettre au chaud et coulisser, limer mon trou devenu bouillant de désir pour son gland. Il l’a compris et très vite, il pénètre, s’enfonce, force le passage. Je retiens mon souffle, fais l’effort pour ouvrir mes sphincters. J’ai mal, il attend. Puis il s’enfonce doucement. Ressort. Crache sur sa queue capuchonnée, étale la salive sur son bout avant de l’enfoncer plus loin en moi. Je retiens ma respiration un moment, accepte la douleur, puis souffle. Il s’enfonce un peu plus. J’ai moins mal. Il s’enfonce jusqu’à la garde. Il s’arrête. « Ça va ? ». Maintenant oui. Il commence un va et vient lent. Je ne dis rien. Il accélère et rapidement il prend un bon rythme de croisière. Ma respiration s’accélère et je marque mon plaisir par des souffles et quelques gémissements. Je ne peux me retenir quand cela me fait du bien. Certains y arrivent, pas moi, j’ai la jouissance sonore. Ce ne ...
... sont pas non plus des cris, mais des gémissements, des râles et des souffles. Il s’arrête brusquement. « Chut ! ». J’attends, et je regarde autour de nous. Imaginez … nous sommes emboités depuis 10 minutes, complètement à poil dans un parc public à minuit et demi un soir de début d’été. Si quelqu’un est là, soit il se rince l’œil, soit on va prendre cher. Je scrute l’obscurité, il écoute et regarde tout autour également. « Non ! Rien ! On est seul » et il reprend ses mouvements qu’il accélère et intensifie. Il donne de grands coups maintenant, sa peau claque contre mes fesses. Il respire fort lui aussi. J’ai terriblement chaud, je transpire. Mon trou chauffe. Il crache sur sa queue de nouveau. La salive fraiche réduit l’incandescence de ma muqueuse. Des gouttes de sueurs glissent de son corps sur le mien, son torse se colle à mon dos. Nous sommes en nage. Il enroule ses bras autour de mon torse et donne de violents coups de butoir dans mon trou. Je ne peux réfréner de grands « haaaan » de surprise et de plaisir mélangés. Il se détache de moi et appuie de ses deux mains sur mes mains, je creuse les reins. Ses coups sont plus longs et plus secs, je sens sa queue sur de nouvelles parties internes, il excite ma muqueuse dans d’autres endroits. Il ressort sa queue entièrement. L’air pénètre dans l’antre, rafraichit avant un nouveau coup de butoir. Il refait cela trois ou quatre fois. Puis il reprend son rythme d’endurance, régulier mais rapide. Sa queue butte contre la prostate. Elle ...