Une autre vie que celle que j'imaginais
Datte: 23/09/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
Collègues / Travail
hsoumis,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
couple+h,
cocucont,
... critique, aucun reproche, aucune mise en garde. Et pourtant, j’aurais peut-être bien aimé. Le soir au lit, alors qu’il avait sa tête entre mes cuisses pour me lécher, il s’est tout à coup redressé pour, sur le ton de la plaisanterie, me demander si je pensais à lui pendant qu’il me bouffait le clito. Il a éclaté de rire. Je suis restée de marbre. Il a reposé la question sans dire, cette fois. Je l’ai regardé dans les yeux, pour lui répondre : — Pas avant que tu m’en parles ; mais maintenant, oui. Il est resté stoïque et, tout en me regardant dans les yeux, m’a introduit deux doigts qui sont rentrés tout seuls ; et avant de se baisser pour reprendre son travail, m’a juste répété : — Maintenant, oui. Puisque mon ami m’en donnait l’autorisation, j’ai fermé les yeux pour l’imaginer devant moi, à genoux, la tête entre mes cuisses écartées, et c’est à lui que je pensais quand j’ai joui violemment. J’ai fini mon ami avec une pipe rapide, histoire qu’il ne saute pas son tour. Je n’avais pas envie qu’il me pénètre, juste envie de m’endormir en gardant l’image de Jacques derrière mes paupières closes. Nous avons eu dès le lendemain une conversation à ce sujet. Mon ami m’a clairement invitée à ne pas trop résister à mes pulsions, et à me laisser aller si j’en avais envie. Ce n’était pas le tromper s’il était d’accord, et il était prêt à tout accepter pour me garder. Il craignait que si je n’assouvissais pas mes fantasmes, j’en devienne aigrie et invivable. Il n’imaginait pas vivre ...
... avec une femme renfermée et résignée, et préférait être cocu que malheureux. Je suis restée un moment à essayer de comprendre ce qu’il voulait me dire. Comment pouvait-on être ou cocu ou malheureux ? Pouvait-on être un cocu heureux, ou un non-cocu malheureux ? J’avais du mal à m’y retrouver. Il a fini par m‘avouer une certaine tendance au masochisme. Il avait besoin que je lui fasse du mal pour ressentir des poussées salvatrices d’adrénaline. Il avait besoin que j’aie des envies d’ailleurs pour se sentir en concurrence et devoir se dépasser pour me reconquérir. J’en étais estomaquée. Nous étions un samedi. Nous sommes repartis au lit. J’avais dans l’idée de le laisser me faire jouir mais de le laisser sur le sable, frustré, me disant que s’il ne pouvait pas supporter une petite frustration, il pourrait encore moins supporter une franche humiliation. Je pensais qu’il s’en rendrait compte et finirait par me dire qu’il était allé trop loin dans son délire. Ça ne s’est pas du tout passé comme prévu. À peine arrivé dans le lit, il a commencé à se masturber en me regardant. J’attendais qu’il me saute dessus mais il n’en fit rien. Il s’est branlé jusqu’à jouir dans sa main. Et pour le coup, là, c’est moi qui ai dû gérer ma frustration. Je ne comprenais pas où il voulait en venir. Son explication a résonné comme une claque : — Je ne te toucherai plus tant qu’il ne t’aura pas baisée. Je suis sortie comme une balle du lit, de la chambre et de l’appartement. Déambulant sur les trottoirs à ...