Une autre vie que celle que j'imaginais
Datte: 23/09/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
Collègues / Travail
hsoumis,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
couple+h,
cocucont,
... ruminer, je me suis petit à petit calmée. Il me mettait au pied du mur. Soit je rentrais en m’excusant, soit j’assumais. J’ai décidé d’assumer. Le lundi, j’ai vu arriver Jacques droit sur moi. Je savais ce qu’il allait me demander. Un déjeuner. J’ai refusé, à sa grande surprise, mais sa surprise a été encore plus grande quand j’ai ajouté : — Déjeuner, non ; mais dîner, oui : il n’y pas d’heure pour en terminer. Lui, si stable, m’a semblé vaciller un peu. Je n’étais pas mécontente de mon effet. — Je vous appelle. Et il est reparti. Quelques minutes plus tard, il m’a appelée : — Ce soir ?— Oui. Le plus tôt sera le mieux. Il est venu me chercher à la sortie du travail, à 17 heures. Une fois dans sa voiture je me suis sentie bien, décidée, forte. — Souhaitez-vous que nous allions en ville faire un tour, puis nous prendrons un apéritif et nous irons dîner ? Nous avons le temps…— Où avez-vous prévu ce dîner ?— Je n’ai rien prévu du tout. Choisissez le restaurant, je vous invite où vous voulez.— Chez vous, alors.— Chez moi ? Vous n’avez peur de rien…— Non, je n’ai peur de rien. Mais pourquoi devrais-je avoir peur ?— Eh bien, vous êtes une très jolie fille, et chez moi je pourrais en profiter…— C’est bien ce que je souhaite : que vous en profitiez.— Sérieusement, ou vous me faites marcher ? Pour lui montrer que j’étais très sérieuse, j’ai attendu qu’il s’arrête à un feu pour lui tirer le menton dans ma direction et lui déposer un bisou sur la bouche. C’était sans doute une réponse ...
... assez claire puisqu’il a cessé de parler pour rouler jusqu’à chez lui. Il était 17 h 45 quand nous sommes arrivés. Il a libéré sa femme de ménage et le jardinier. Il m’a prise dans ses bras pour m’embrasser. J’ai adoré le goût de ses lèvres, le grain de sa peau. Ses mains se sont aventurées à la découverte de mon corps, patiemment, tendrement. Il avait déboutonné mon chemisier et j’avais jeté mes chaussures quand je l’ai senti se tendre. Il m’a prise par le cou d’une main pour me pousser, et sans que j’aie eu le temps de réagir, m’a plaquée contre un mur. Son autre main est venue sous ma jupe pour écarter ma culotte, et sans aucune délicatesse m’introduire un doigt. En même temps qu’il en entrait un second, il a serré encore un peu plus mon cou, au point de me couper la respiration. Je n’éprouvais aucune peur, que du plaisir. J’étais une plume entre ses mains et il allait abuser de moi, comme je le souhaitais. Pour une fois un homme allait me posséder sans me demander ce que j’aime. Je ne savais pas encore si j’aimerais être malmenée, mais je comprenais bien que c’est ce qui allait se passer. Il a desserré mon cou et a approché son visage du mien pour me souffler : — Alors, jeune fille, je continue ou on en reste là ? Sans répondre, j’ai cherché sa fermeture Éclair pour attraper sa virilité, mais s’il a compris ma réponse, ne m’a pas laissée faire. Il a serré à nouveau mon cou en se reculant, a lui-même libéré son sexe de son pantalon pour venir contre moi, se baisser, et me ...