Une autre vie que celle que j'imaginais
Datte: 23/09/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
Collègues / Travail
hsoumis,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
couple+h,
cocucont,
... sauter debout. Je l’ai senti entrer en moi avec vigueur. Je me suis demandé s’il n’était pas déçu de ne pas avoir à forcer davantage. Il est rentré tout seul, alors que je sentais bien un volume imposant m’envahir. J’ai vite senti un orgasme arriver, que je tentai de contenir pour savourer ses outrages plus encore, mais il a bien senti ce qui se passait et ne m’a pas laissée respirer. J’ai joui comme une dingue, et s’il ne m’avait pas retenue, je serais tombée raide. Quel plaisir de se faire posséder ainsi par quelqu’un qui sait ce qu’il veut ! Il m’a baisée comme un dieu, comme un homme. C’est ça qui me manquait avec mon ami. Quand j’ai repris mes esprits, il a lâché mon cou pour me presser les épaules. — Suce-moi ! C’était un ordre qui me ravissait. Je me suis occupée de son engin qui, en effet, était assez massif et très dur. Il ne voulait visiblement pas de tendresse, juste que je le pompe, et je m’y suis employée avec application jusqu’à sentir son sperme couler dans ma bouche. Je n’aimais pas trop ça ; il m’a laissée me reculer pour le laisser finir sur mes seins. Il m’a relevée pour m’indiquer la salle de bain. Quand j’en suis ressortie, il était au salon avec deux verres. Nous nous sommes mis à discuter comme nous le faisions à table, sans allusion à ce qui venait de se passer. Un traiteur est venu nous apporter un repas succulent accompagné d’un vin de choix. J’ai adoré cette soirée, qui s’est allongée tard dans la nuit avant qu’il me propose de me ramener. Je lui ...
... ai demandé à mon tour s’il était pressé de me voir partir. Pour seule réponse il a pris ma main, m’a aidée à me lever et m’a priée de le suivre dans sa chambre. — Tu vas voir si je suis pressé que tu partes, s’est-il contenté de me dire avant de me déshabiller avec tendresse, couvrant mon corps de ses regards suggestifs et mes seins de ses baisers. À mon tour je me suis occupée de le dévêtir, et j’ai entrepris de le sucer. Je l’ai poussé sur le lit où il a atterri sur le dos. D’une main j’ai serré son cou, de l’autre j’ai attrapé son sexe pour le guider vers mon sexe. Une fois empalée sur lui, j’ai mis ma seconde main sur son cou, et en même temps que je faisais monter et descendre mon cul, je serrai son cou jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter. Il ne m’a rien demandé et m’a laissée faire. Il était violet, à bout de souffle. J’étais tellement déchaînée que j’en suis devenue vulgaire, et le rictus qu’il m’a renvoyé m’indiquait qu’il ne détestait pas. En entendant « Salaud, tu vas me faire jouir… » il a même souri carrément. En même temps que je vociférais, j’ai senti son sperme jaillir en moi, et mon orgasme en a été décuplé. J’ai pris un pied terrible avant de me mettre à pleurer. Je venais peut-être de détruire ma vie et celle de mon ami. Et je ne regrettais rien. Ma vie a changé, oui. Mais elle n’a pas été détruite comme je le craignais. Non seulement mon ami ne m’en a pas voulu, mais il a tenu à ce que je lui raconte tout ; et comme à chaque fois que je raconte je revis mes ...