1. Épisode II : Soirée billard


    Datte: 24/09/2019, Catégories: fh, frousses, volupté, Oral pénétratio, jeu,

    ... chatte, partout. Les contours humides, plus en profondeur, le bouton rose gorgé de plaisir. Rien n’y échappait. Je buvais la liqueur qui s’écoulait, je mordillais le clitoris, je pénétrais sa chatte de ma langue. — Hmmmm, oui. Ouuuh, continue. Une de ses mains se pressait dans mes cheveux, l’autre se crispait sur la table. Je la regardais qui atteignait le bord de l’orgasme. Son front perlait de petites gouttes de sueur et ses lèvres bougeaient lentement, laissant échapper de longs râles. Je n’avais de cesse de la conduire près du gouffre, ensuite de ralentir ou même de stopper mes mouvements pour caresser chaque parcelle de son corps à porter de main. Puis, je pénétrai son vagin de mon index. Elle expira à nouveau et gémit longuement. J’entrepris un très lent va-et-vient. Puis, j’y ajoutai mon majeur, un nouveau gémissement. Ma main quitta son sein pour venir recueillir son jus. Je remontai ce doigt luisant vers son sein que je voulais imbiber de sa saveur, elle prit vivement mon doigt et l’approcha de ses lèvres pour venir le sucer avec délectation. Le temps de débarrasser mon index de toute trace de mouille, la salle fut vide de tout son. Puis ma main reprit son sein et Sandra recommença à gémir. Je prenais allègrement mon temps, sans que ma queue ne perde le tiers de sa dureté. Mais je voulais la faire jouir, la faire jouir longtemps. Je sortis son clitoris et lui accordai toute mon attention, pointant ma langue pour le pousser et le faire tourner, le grattant ou le ...
    ... passant entre mes lèvres. Je le frottai longuement, lui donner de grands coups aussi, qui la faisait presque reculer sur la table. Son bassin venait de lui-même chercher mes doigts, en petits mouvements saccadés. J’accélérai mon doigtage et bientôt, secouée de soubresauts, elle jouit du plus long des gémissements que j’aie entendu jusqu’à maintenant. J’étais béat devant cette plénitude, alors qu’elle gémissait encore et encore, la tête rejetée en arrière, sa gorge gracile appelant une lente caresse de ma paume. Puis, mon propre désir m’envahit et je voulus la pénétrer, là, tout de suite. Elle reprenait à peine ses esprits, le bras gauche au-dessus de sa tête, secouant ses cheveux, l’autre toujours derrière elle, la maintenant cabrée. Je me remis debout et passai mes mains le long de ses flancs, caressant au passage ses seins durs d’excitation. Puis, fermement, je me saisis de son poignet gauche d’une main et de l’autre de son poignet droit, que je ramenai au-dessus de sa tête. Ses yeux s’ouvrirent et ils brillaient d’envie. D’une main je gardai ses poignets en l’air, je saisis ma queue de l’autre et l’approchai de sa chatte. Elle écarta encore les cuisses et je pus frotter mon gland rouge contre sa chatte luisante puis le plaquai entre ses lèvres. Je passai ma main dans son dos, près des fesses, et la tirai vers moi, l’empalant sur mon sexe. Elle râla, dodelina de la tête et ferma les yeux, s’abandonnant. Le changement de situation m’excita davantage. Ce brusque passage entre la ...
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