1. Une auberge pas comme les autres


    Datte: 29/09/2019, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, humilié(e), couche, Oral jeu, uro,

    ... dans le tissu éponge de ma couche, heureux et calmé dans la chaleur humide qui m’enveloppait. Un léger bruit me réveilla. À travers les volets clos, je constatais que la nuit était moins sombre, le jour ne tarderait pas à se lever. Quelle heure pouvait-il être ? Je voulus allumer l’électricité pour regarder à ma montre. Mais en vain, sans doute était-ce une coupure de courant. Le bruit se renouvela et je le situai dans le couloir. Un léger grincement. Quelqu’un ouvrait sans aucun doute la porte de ma chambre. Mes yeux habitués à l’obscurité, distinguaient une silhouette s’approchant du lit, sans avoir peur, une certaine angoisse m’étreignit quand même. C’est alors qu’une petite voix se fit entendre. "C’est moi. Ne cherchez pas à allumer, j’ai retiré le fusible au tableau dans le couloir." Non, ce n’était pas possible, je rêvais ! La silhouette se pencha sur le lit, le bord du matelas s’affaissa et le sommier craqua. Je m’étais reculée instinctivement, et la jeune fille, car c’était elle, se glissa à côté de moi. "Pardonnez-moi, mais je n’en pouvais plus toute seule dans mon lit. Il fallait que je vienne. Je vous en supplie ne me renvoyez pas !" Dit-elle d’une petite voix étranglée. Elle se blottit contre moi, son visage cherchant le mien, un courant électrique me parcourut, lorsque ses lèvres se posèrent sur les miennes. Toutes idées de résistance s’envolèrent. Mes mains parcoururent rapidement ce corps serré contre le mien, glissant sur le tissu arachnéen d’une chemise de ...
    ... nuit. Une de mes mains se referma sur un globe soyeux que je sentis palpiter puis durcir sous mes doigts, alors que l’autre, se glissant sous la chemise remontait vers le haut de ses cuisses. Elle poussa un gémissement et ses cuisses s’écartèrent sous la progression des caresses. "Je suis toute mouillée. J’ai fait pipi au lit avant de venir." Parvint-elle à dire. "C’est merveilleux ! J’adore les petites filles qui mouillent encore leur culotte et leur lit et dont les mamans sont obligées de leur mettre des couches et des culottes en caoutchouc…" Alors que ma bouche, glissant le long de son col, happait le bout durci d’un sein jailli de l’échancrure de la chemise, ma main, glissée sous sa chemise, s’engagea sous la culotte en caoutchouc, sous le tissu éponge ruisselant, se referma sur son coquillage entrouvert. Son corps fut parcouru de frissons et s’agita sous ma main restée immobile. En effet, bien que la culotte, ex-mienne, fut trop large pour elle, ma main ne pouvait plus bouger sans risque de la déchirer. Aussi, après avoir retiré doucement ma main, je m’agenouillais sur le lit, repoussant la couverture et le drap, et entreprit de lui retirer sa culotte comme je l’avais fait quelques heures auparavant. Elle gémit de nouveau, les cuisses écartées, ne me facilitant pas le travail. Sa culotte retirée, ayant atteint le point de non-retour, je retirais également la mienne et m’allongeai de nouveau à côté d’elle. Je lui avais laissé ses couches mouillées et gardé les miennes, car ...
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