Pauline - années adulte (21)
Datte: 01/10/2019,
Catégories:
Trash,
Chapitre 21 Tous ces sacrifices pour rien. Je n’avais que repoussé l’inévitable… Ma fille, ma petite Yvana entre ses mains. Il avait gagné. Je n’avais plus d’espoir, plus rien du tout. Il l’avait prise devant moi ; j’avais vu ma fille accepter tout ce qu’il lui demandait, jusqu’à léché son sperme dégueulasse sur le parquet. J’avais bien remarqué dans les yeux d’Yvana qu’elle était excitée à un niveau extrême. Je ne pouvais plus rien faire. Elle avait déjà une maturité sexuelle que je n’avais pas à son âge. Il allait en faire ce qu’il voulait. J’ai perdu espoir. Je n’avais plus aucune raison de me battre, plus aucune possibilité de la protéger de cet homme. Ils étaient dans sa chambre, il continuait à jouer avec elle, je n’arrêtais pas de l’entendre gémir. Je n’étais donc bonne à rien ? Mon père… Ma mère… Marc et maintenant Yvana… S’en était trop ; j’ai commencé à délirer au point où je me suis mise à entendre la voix de mon père… C’était comme s’il me parlait et ça a duré toute la nuit. Pendant des heures il me rappelait qui j’étais, pendant des heures il me disait de redevenir ce que je suis au fond de moi : une fille qui n’avait peur de rien ni de personne, une fille qui allait jusqu’au bout de ses idées. Etait-ce uniquement mon imagination ? J’ai pourtant senti sa présence juste à côté de moi, sa chaleur, son odeur. J’avais dormi depuis bien trop d’années, il était temps que je me réveille vraiment. Patrice partit le matin pour aller travailler, mais pas sans imposer ...
... ses exigences. Elle ne devait en aucun cas s’occuper de moi, me laissant toujours attachée et bâillonnée. Elle devait rester nue toute la journée. Il m’avait retiré mon collier de chienne pour le lui mettre. Et elle devait l’attendre dans cette position que j’ai dû faire si souvent : à genoux, les mains derrière la tête. Yvana passait devant moi, tenait sa promesse de rester nue. Elle marchait à chaque fois de façon honteuse. Et un moment, peut-être par pitié, elle me demanda si j’avais soif. J’ai répondu oui de la tête. Elle m’apporta un verre d’eau, enleva ce bâillon qui était devenu insupportable à garder. Enfin, j’arrivai à respirer normalement. J’ai pris plusieurs bouffées d’air avant qu’elle me mette le verre à la bouche. L’eau rentra, mais je ne l’ai pas avalée, je l’ai crachée sur elle. Elle fut surprise et me regarda sans réagir, comme si je venais de la réveiller brutalement. J’en ai profité pour lui dire — Il faut que tu me détaches. — Mais… Si je fais ça, il ne sera pas content. — Tu seras déjà loin à ce moment-là. Obéis ! Je la voyais totalement perdue. Elle me montrait un côté de soumise que j’avais commencé à apercevoir la nuit d’avant. Il fallait que j’en profite le plus possible pour nous sortir de cette situation. Elle semblait réfléchir et répondit — Mais, il a dû garder les clés avec lui. — Oui, certainement. Trouve autre chose… Un trombone, donne-moi un trombone, tu en as forcément dans ta chambre. — … Mais, tu vas en faire quoi ? — Ta gueule et obéis. Et ...