1. Pauline - années adulte (21)


    Datte: 01/10/2019, Catégories: Trash,

    ... déstabilisa… — J’ai eu un message qui m’indiquait que mon compte en banque avait été vidé. J’imagine que tu n’y es pas pour rien. — … Et ça te fait quoi d’être privé de cinq millions ? — Cinq millions ? J’avais tout ça sur ce compte ? Merde alors, c’est ce que je gagne en moins de 6 mois. Ben oui, sale conne, ce n’est que de l’argent de poche pour moi. J’ai bien d’autres comptes en banque. J’ai des sénateurs, des ministres qui me bouffent dans la main tous les jours. Tu te croyais la plus forte ? Tu ne sais rien de moi ! — J’en sais suffisamment. Tu ne feras plus de mal à qui que ce soit ! — Tu ne peux rien contre moi. Je suis indestructible. Je n’ai aucun point faible contrairement à tout le reste du monde, et tu sais pourquoi ? Parce que je n’ai pas de famille. Ce n’est pas comme ces politiciens qui comptent sur moi pour garder leurs petits secrets bien à l’abri du publique. Ils n’aiment pas que soient dévoilés leurs infidélités ou celles de leur femme. Ils aiment encore moins que tout le monde découvre la sextape de leur fille dans une partouze… Te souviens-tu, il y a deux ou trois mois de ça, de ta sauterie avec cette petite brunette bien cochonne ? Pour te rafraichir la mémoire, je peux te montrer ce qu’on a filmé à ce moment-là… Sais-tu qui est son père ?... Ca n’a de toute façon aucune importance car Yvana est ma chienne ! — Ta gueule ! Elle ne sera jamais à toi ! — Vraiment ? Et tu feras quoi ? Je sais déjà qu’elle est chez ta cinglée de mère ! — Je ne te laisserai ...
    ... pas bouger d’ici, ni faire quoi que ce soit ! — Et tu comptes me poignarder ? Tu trembles comme une feuille. — Au moindre geste, je te l’enfonce dans le ventre. Je garde les yeux bien ouverts sur toi ! — Vraiment ? Tu ne vas même pas cligner des yeux ?... Tant mieux. Je n’ai pas vu son geste trop rapide : il jeta le contenu de son verre sur moi, mon visage. La vodka me brûla les yeux. Il en profita pour me frapper, je ne voyais plus rien, et je suis tombée lourdement sur le sol. Il me tabassa encore et encore pendant de longues minutes. Je n’avais même pas senti qu’il avait baissé mon pantalon. C’est lorsque cette douleur atroce m’envahit que je compris qu’il venait d’arracher l’anneau qui transperçait mon clitoris. Je n’avais plus aucune force, je n’arrivais plus à bouger. Il coupait le reste de mes habits avec le couteau que j’avais lâché. Il arracha ensuite l’anneau de mon téton gauche, puis celui du droit… Je n’arrivais même plus à crier tellement la souffrance était atroce. Il y avait tant de mon sang qui coulait partout sur le sol. Je ne pouvais plus rien faire, il avait gagné. Je n’arrivais plus à faire le moindre geste ; il m’entraina alors sur la terrasse en me tirant par les cheveux. Il me souleva, m’obligeant à me maintenir debout alors que mes jambes n’avaient plus aucunes forces. Quelques coups de poings supplémentaires sur mon corps et mon visage, je ne sentais déjà plus rien. Puis il me dit « je te rends ta liberté. Repars par-là d’où t’es arrivée » ; il me jeta ...