1. Sus à la culotte


    Datte: 02/10/2019, Catégories: noculotte, grp, Collègues / Travail hotel, caférestau, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme humour,

    ... déculottée… Un magasin de lingerie. Je cours, hélas il est comme tous les autres fermé. Sa vitrine expose les merveilles deTribade. El&#380bieta me susurre : — Ah la lingerie française !Tribade surtout, je ne suis parvenue qu’à m’en acheter une culotte. Je l’appelle la culotte qui décoiffe, vu ses effets sur mon mari. Le soir, au domicile, c’est repas à la vodka et j’avoue avoir bien besoin de ce remontant. Discrètement, sous la table, Andrzej me fait du pied ce qui me détend, mais lorsqu’il pose sa main sur mon genou avec d’évidentes intentions de conquête, je me raidis et fermement éconduis la visiteuse. Le dîner achevé, épuisée nerveusement, je gagne ma chambre pour des soins et un sommeil réparateurs. Saloperie de vodka, toute la nuit je cauchemarde ! Des grappes de Krasnala s’agrippent à mes mollets, grimpent le long de mes gambettes et… ô, mon dieu, je ne saurais écrire cela ! Connards de nains, il en sort de partout et ils tombent leur fut’de bronze. Évidemment ils ne portent pas calbut sous leur salopette et sortent des putains de zizis extravagants. Ils gonflent comme des malabars et heureusement finissent par leur péter à la gueule avant d’avoir l’opportunité de l’abordage. Je me réveille en nage, l’Oder s’écoulant entre mes cuisses en fusion. Le lendemain, c’est reparti pour un tour de la cité en calèche. Autant m’exhiber toutes voiles dehors sur un piédestal. Je constate que le cocher ne cesse de se retourner et ces cons de touristes de nous photographier. Je ...
    ... ne dirais pas en avoir pris mon parti, mais à mes pudeurs d’hier se mêlent d’abord de la résignation puis une saveur singulière faite d’un zeste d’excitation qui conjugue les charmes de la provocation et une montée d’adrénaline. Quelques-uns parmi ces estivants en mal d’images-chocs doivent s’enorgueillir d’avoir pris le cliché dévoilant les dessous de la Pologne, grand bien leur fasse. Le pique-nique ensuite, au jardin botanique, est une épreuve délicate ; allez donc vous vautrer sur le gazon sans que votre robe, déjà fort courte, ne remonte ! Durant l’après-midi je subis d’autres émois qui vont cependant decrescendo. Le soir, nouvelles libations et comme je m’envole demain avant l’aube, El&#380bieta en profite pour me faire compliment. Elle loue notamment ma silhouette parfaite et mes tenues qui ont fait tourner bien des têtes sur mon passage tout en s’étonnant de m’avoir senti crispée. J’ai l’impression qu’elle se moque. Un peu plus tard, alors qu’un brin pompette je regagne ma chambre, Andrzej me coince dans le couloir. Il a envie d’accrocher une Française à son tableau de chasse, spécialement une Française sans culotte. Après tout, pourquoi pas moi un Polonais et celui-ci me plaît plutôt. Je laisse donc faire, réponds même quand ses lèvres harponnent les miennes, quand ses doigts s’égarent sur mes seins, quand la bouffissure de son pantalon vient frotter mon pubis. Il me colle contre le mur, ses mains divaguent, sa langue extravague, je sens des vagues d’allégresses qui ...
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