1. Sus à la culotte


    Datte: 02/10/2019, Catégories: noculotte, grp, Collègues / Travail hotel, caférestau, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme humour,

    ... comprends, à son sourire en coin, qu’il a deviné et peut-être même aperçu. Perdue dans mes désarrois, je n’entends rien des explications des deux qui, à l’arrière, s’escriment à me présenter les changements de la ville. Nous arrivons au parking du panorama (*) ; Andrzej vient m’ouvrir et me tenir la portière. Comment s’extirpe-t-on d’un siège aussi profond ? Je ne veux pas désunir mes jambes, résultat : le tissu de ma robe remonte sur mes cuisses que ce mignon sale gosse mate sans vergogne. Ouf, dans le musée, il fait frais, sombre et les admirateurs de Ko&#347ciuszko ne me prêtent aucune attention. Par contre, en sortant, le vent, un vent fripon s’est levé : Ursula prend garde à ton jupon ! Eh oui, si seulement j’en portais un. Je ne peux pas divaguer ainsi en ville, je suis morte d’humiliation, crucifiée de honte, Saint Népomucène ayez pitié (**). Dans la rue, je marche raide, les bras rivés le long du corps, les mains plaquées sur mes gigues. Dans les vitrines, je ne surveille que mon reflet et tente de saisir les regards médusés des voyeurs qui me poursuivent. Ils sont légions, jamais je n’avais soupçonné la présence d’autant de ces énergumènes dans la foule, surtout parmi les Polonais. Là, il en est un dont les yeux s’enflamment comme des thermomètres. Pour lui échapper, je hâte le pas, cours presque, et ouille, je trébuche sur un obstacle inattendu, m’étalerais sur le trottoir, bonjour le spectacle, si Andrzej ne me retenait. — Tu shootes dans nos Krasnala ? (***) ...
    ... C’est leur manquer de respect.— Vos Kras quoi ?— Nos Krasnala, nos nains, les symboles de la résistance de la Pologne. Je me retourne et remarque en effet un nain en bronze, occupé à déclamer le nez en l’air et l’air tout émoustillé. Le débauché, il a dû bien rigoler. — Il y en a 350 dans Wroc&#322aw. Quelle horreur, scellés au ras du bitume, ils occupent la position idéale pour couler leur fièvre révolutionnaire au long de mes guibolles. Nous mangeons à la terrasse surélevée d’un restaurant et la chaleur et les picotements m’accablent. Pendant le repas, je serre ma robe entre mes jambes pour l’empêcher de voleter ce qui renforce la calamité. Je n’aurais jamais imaginé que cela me fasse autant d’effet et jusqu’où l’éducation nous forge une seconde nature. Ça devient carrément obsessionnel, quelques centimètres carrés d’étoffe en moins et je me sens totalement dénudée, point de mire de tous les hommes de la ville, des plus jeunes aux vieillards, des plus délurés aux plus sages. C’est tout juste si je n’accuse pas les paveurs d’avoir usurpé ce métier rien que pour zyeuter sous ma robe. El&#380bieta me précède quand nous grimpons sur la terrasse de l’université. Au débouché sur la plateforme sa robe s’envole et je distingue sa petite culotte blanche à motif floral. Elle se tourne et m’attends, sourire aux lèvres. Je suis sûre qu’elle veut vérifier ce qu’elle subodore depuis ce matin et je vis avec terreur la situation de Marilyn sur sa bouche d’aération sauf que celle-ci n’était pas ...
«12...567...15»