1. Sus à la culotte


    Datte: 02/10/2019, Catégories: noculotte, grp, Collègues / Travail hotel, caférestau, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme humour,

    ... vulnérabilité, rien ne me rend plus culottée que de n’en point porter. J’adore m’aérer la chatte et sentir des courants d’air jouer sur ma harpe pubienne. J’honnis le pantalon et, au cœur de l’hiver, ne déteste pas qu’un frisson glacé vienne me pincer les cuisses, j’irai jusqu’à dire que cela m’échauffe. Bien sûr le summum tient à cette sensation de liberté tant physique que morale et si j’adore faire la nique tant à la sagesse textile qu’à la soutane, je m’amuserais beaucoup néanmoins à me promener totalement à poil sous une burqa. J’insiste surà poil, car je déteste les minettes arasées des poupées impubères. Enfin, je suis fervente de la masturbation. Je me caresse partout, en toute occasion, au domicile comme au boulot, accordant une prédilection aux lieux publics à condition toutefois d’y être isolée, encore qu’une caméra de surveillance puisse démultiplier mes transports. Une robe dépourvue de dessous facilite alors indéniablement ces écarts. Je ne me considère pas exhibitionniste, cependant quand un zélé sectateur englue mes guibolles du feu de ses prunelles, je frissonne et décolle. Je suis là, maintenant, à les admirer, longues et superbement fuselées, splendidement halées quand je constate que le quidam installé à côté profite du spectacle avec volupté. Un brin âgé, la trentaine bien sonnée, un peu guindé, mais séduisant, athlétique, bronzé et soigné. Je craquerais volontiers… — Pourriez-vous garder ma place pendant que je vais pi… me refaire une beauté ?— ...
    ... Certainement, cette précaution est pourtant totalement inutile, si je puis vous rassurer ! Lorsque je reviens, ma tasse à café s’est remplie, les tickets de caisse ont disparu et il achève un coup de fil dont je surprends les derniers mots : — … oui j’en retiens une ainsi qu’une table pour deux au fond de la salle.— Je vous remercie, bien que n’ayant pas sollicité autre chose que d’éviter qu’on ne me pique ma place.— Eh bien, je vous offre davantage, car outre celle-ci, que j’ai férocement défendue, je viens de nous en réserver une au Régent à 20 h ce soir, à moins que vous ne soyez déjà prise, sourit-il en s’installant sans vergogne en face de moi. L’animal ne manque pas de culot et son aplomb, s’il me déconcerte un court instant, m’égaye aussi. Pas question toutefois, sous peine de ridicule, de jouer les mijaurées et je rétorque : — Vous tombez mal, je m’apprêtais à vous convier dans une sandwicherie. Cette réponse vaut acquiescement, il ne s’y trompe nullement et surenchérit : — J’avoue que dans mon élan, j’y ai également retenu une chambre… Le présomptueux qui ne doute de rien poursuit : — … ne vous en inquiétez pas. Il ne tiendra qu’à vous, d’ici la fin du repas, d’en faire soit une accueillante garçonnière, soit une triste cellule monacale. Je ne vais pas invoquer ma cystite pour décliner. Nous bavardons un long moment et ne quittons le Hiéronimus qu’à la nuit tombée. Il me prend par le bras et, non sans quelque fierté, me promène nonchalamment à travers la ville, comme si nous ...
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