Sus à la culotte
Datte: 02/10/2019,
Catégories:
noculotte,
grp,
Collègues / Travail
hotel,
caférestau,
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
humour,
... étions de vieux amants. Il égare par moment ses lèvres tendres, galantes et respectueuses dans mon cou. Au cours de cette interminable déambulation, des odeurs d’urine finissent par chatouiller mes narines m’informant qu’il est urgent de remplacer l’infâme charpie. Dès que parvenus au Régent, un hôtel restaurant de luxe et une institution dans notre ville, je me précipite aux toilettes. Le dîner est somptueux et il l’égaye d’une verve folle, se montre facétieux, combine brillamment dans ses propos un sérieux austère avec des pointes de grivoiserie subtiles qui m’enflamment. Pendant le café, je m’échappe encore pour me débarrasser de mon protège-slip et laver sommairement l’entrejambe de mon attirail : tant pis, il imaginera que j’ai mouillé rien qu’à l’écouter. À la fin d’un repas un peu trop arrosé, sans autrement me consulter, il reprend mon bras et quêtant d’un geste familier une clé qu’on se hâte de lui apporter, me conduit à l’étage. Il ne s’inquiète pas plus de consentement que moi de sédition. Dans la chambre, il tombe fougueusement mes rares fringues, robe et soutien-gorge, à l’exception de l’objet de mes hontes que j’espérais voir s’éclipser en priorité. L’air émerveillé, il s’exclame « Oh ! la somptueuseTribade ». Ne concevant pas ce qui me vaut ce compliment, j’en conclus qu’il ignore le sens exact de ce mot. Au premier round, il me gratifie d’un cunnilinctus puis d’une charge et décharge d’enfer tout en me laissant parée de cet oripeau, se bornant à le distendre ...
... afin d’accéder au fruit accordé. Je couine comme une damnée, sans trop démêler si la cause brûlante en revient à son phallus ou à ma cystite. Lui ne nourrit aucun doute. Long intermède champagne durant lequel il souhaite que je me pavane devant lui, toujours enculottée.Moi, qui trouve mon miroir le plus complaisant dans le regard des autres, j’en suis ravie. Quand lustrant son chibre, il m’invite à me caresser, je m’exécute avec délice, notant néanmoins une lueur de désapprobation de sa part lorsque j’ôte la gêneuse. La seconde reprise se borne à n’être qu’une récidive et les élans de monsieur n’atteignent en rien à l’originelle ardeur. Alors que je craignais d’arriver au boulot avec des cernes sous les yeux, je m’offre ensuite une nuit réparatrice. Après un réveil un brin chahuté, je me rhabille en hâte sans parvenir à remettre la main sur la culotte félonne. Hilare, il observe mon affairement sans songer à m’aider. — Ne t’inquiète pas, je vais retourner la chambre et la retrouver. Je serai absent le reste de la semaine, un congrès, mais tu pourras la récupérer dimanche soir chez moi, annonce-t-il en me tendant sa carte. J’y apprends qu’il est gynéco – ça pourra lui servir si je lui ai collé ma cystite – et qu’il habite les beaux quartiers de la ville ; pourquoi dès lors m’avoir conduite à l’hôtel ? Un bisou rapide et je le quitte, abandonnant cette question et l’exuvie de maman à l’avenir. Cinq jours plus tard, je suis rétablie et forte d’un aplomb affermi par la disparition ...