1. Nadine, la vengeance d'une maman (17)


    Datte: 03/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Je me réveille la tête sur le ventre de ma mère, le visage dans son nid, aussi reposé qu’un bébé qui a fait sa nuit. Elle va mieux ; sa peau est moins enflammée, sa température a chuté. Seul paysage dans le voisinage, sa vulve m’offre la plus troublante des leçons d’anatomie matinales… Maman se réveille à son tour, me regarde en souriant, s’étire langoureusement et s’installe dans une position qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Je donne un coup de langue dans ses poils et elle soulève aussitôt son derrière, le bassin en reptation. Si les yeux sont le miroir de l’âme, qu’en est-il du sexe des femmes ? Elle est déjà tout excitée ; sa chatte est trempée, baromètre infaillible qui reflète ce qu’elle attend de moi. J’enfonce ma langue dans la fente, lèche les nymphes dentelées, débusque le clitoris qui se développe sous mes aspirations. Elle halète, sa respiration s’accélère ; elle me tire les cheveux, remonte les genoux, écrase son sexe sur ma bouche en poussant son ventre en avant. Elle s’abandonne avec une impudeur inouïe, alors qu’hier encore elle jouait la repentie. Toujours cette dualité, ce conflit entre ses envies et l’interdit qui lui empoisonnent la vie. J’écarte les grandes lèvres replètes avec mes pouces et sa vulve se déploie, s’écarquille en gros plan. — Oh, Maman, surtout ne bouge plus… Laisse-moi te regarder… Je sors de ce trou… Je viens de là ! Je poignarde son vagin, vrille mes doigts jusqu’à l’entrée du col. — Oui, mon chéri, je t’ai porté… Tu es ma ...
    ... chair et mon sang … Tu sors de là (elle me montre son ventre), tu y retournes quand tu veux… Je ne fais qu’un avec Toi ! Je lui grimpe dessus le souffle court, fouille dans les poils en me guidant d’une main. Elle soulève les fesses pour m’aider et ma queue glisse à l’intérieur, dans la chair visqueuse et bouillante. Elle m’engloutit, au diapason, et, en même temps, elle m’étreint sur son sein, me serre dans ses bras avec une tendresse toute maternelle. Elle est aussi prévenante que salope. Autant Maman que Putain. Le yin et le yang. Les deux faces d’une même médaille. Je la pilonne, la saccage à grands coups de reins quand soudain, malgré moi, mon sperme gicle hors de moi. Je suis le premier étonné par cette éjaculation aussi précoce que redoutée. Elle plaque ses mains sur mes fesses, noue ses jambes dans mon dos et elle pousse, elle pousse loin son ventre en avant pour se faire jouir tant qu’il en est encore temps. Elle me garde en elle égoïstement, me conserve avidement, mais je débande immédiatement et la laisse en plan. — Je suis désolé, Maman… Je ne comprends pas… Je n’ai pas pu me retenir ! — Ce n’est pas grave, mon poussin, ce sont des choses qui arrivent… Ne t’en fais pas pour moi… Tu feras mieux la prochaine fois… Je vois bien ce qu’elle fait : elle veux me rassurer. Elle essaye de me consoler, sur le même ton que si j’avais échoué à un examen mais qu’elle n’avait aucun doute dans mes capacités à le réussir à la session suivante. Il faudrait qu’elle arrête de mettre ...
«1234»