1. Nadine, la vengeance d'une maman (17)


    Datte: 03/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... des gants avec moi. Pourquoi se croit-elle obligée de me traiter comme un enfant, ou pire encore : comme un époux défaillant que bobonne réconforte lorsqu’il est impuissant ? J’ai envie de la faire jouir, moi, je veux que son corps exulte ; mais je souhaite aussi qu’elle ne cache pas sa frustration quand je l’honore d’une aussi piètre prestation. Comment viser la perfection, sinon ? Je n’en peux plus de sa pitié bon marché, de sa compassion déplacée. Elle est la première femme qui m’invite dans son lit, la première qui se donne à moi, et elle n’est pas une femme ordinaire : il s’agit de ma mère ! Notre relation est aussi difficile à gérer pour moi que pour elle : on ne baise pas sa mère sans effets secondaires. Elle pourrait se douter que je me pose des questions moi aussi, non ? Est-ce trop lui demander ? Elle a gâché ce début de journée qui avait si bien commencé… Plus tard, Maman me rejoint dans la cuisine et se prépare un café. Elle s’est douchée : sa peau est humide, ses cheveux sont mouillés. Elle a enfilé un T-shirt, usé et étriqué, qui lui couvre le bas des reins. Comme elle n’a pas de culotte, je peux voir la raie des fesses ou la toison pubienne au gré de ses allées et venues. Elle virevolte, aussi gracieuse qu’une ballerine en représentation. Elle sait que j’adore la regarder, alors je la soupçonne d’exhiber son corps à dessein ; son cul charnu, ses seins lourds qui bougent, ses jolies jambes fuselées sont autant d’appas qui ne me laissent pas indifférent. On ...
    ... dirait que la petite séance de baise bâclée dont je l’ai gratifiée au réveil l’a laissée sur sa faim, et que Madame en redemande ! Elle n’est pas rassasiée alors elle me fait du gringue, me provoque carrément. Je réalise à quel point j’ai détraqué son instinct maternel pour qu’elle en arrive à chauffer son fils avec un naturel aussi décomplexé : elle a tout d’une chienne en chaleur ! Je m’approche dans son dos, tombe à genoux, lui enlace les cuisses. Je lui renifle l’entrecuisse, lui soupèse les fesses à deux mains, enfonce mes doigts dans la chair abondante, plante mon visage dans son cul. — Veux-tu bien, Maxime ? Est-ce des façons ? Mais enfin, qu’est-ce qui te prend ? Elle minaude, se tortille, incline son buste en avant. Elle pose ses mains sur le rebord de l’évier, ses pieds raclent le sol quand elle écarte les jambes. Elle tremble d’excitation, frémissante d’impatience. Qu’est-ce qu’elle en veut la salope, elle n’en peut plus ! Elle est à point, elle marine dans son jus. Je suis tout disposé à lui donner ce qu’elle attend de moi… et bien plus encore. Je lèche sa fente du bout de la langue, aspire les filaments de mouille qui dégoulinent sur mon menton, me remplis les narines de l’odeur un peu fauve exhalée par son con. Elle doit être vraiment excitée pour sentir aussi fort alors qu’elle sort de la douche ! J’écarte les fesses, promène ma langue sur le périnée. — Je vais te bouffer le cul, Maman ! — Mais bon-sang, Maxime, qu’est-ce qui t’arrive ce matin ? As-tu perdu la ...