Nadine, la vengeance d'une maman (17)
Datte: 03/10/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... raison ? Je t’interdis, tu as compris… Je ne plaisante pas ! Elle serre les fesses, se débat pour échapper à ma bouche, à ma langue qui la fouille, mais je la tiens et ne la lâche pas. Elle tourne la tête par dessus son épaule à s’en briser le cou, son regard éploré cherchant le mien, dépassée par la tournure que prennent les événements. Comme Maman est propre, son trou du cul sent bon le savon. Le nez asphyxié, je mets mon projet à exécution. Elle répond à l’agression par des reproches scandalisés, des déhanchements saccadés. Une fois que je l’ai bien lubrifié, que son anus est préparé, je me relève et coince ma queue dans le sillon profond de ses fesses. Elle recule instinctivement son bassin pour me coincer encore plus loin. Elle a beau prétendre le contraire, ça la démange elle aussi. Ses remontrances sont le seul moyen qu’elle a trouvé pour sauver les apparences, mais devant mon insistance, elle capitule enfin. — Vas-y doucement, mon chéri… J’ai peur d’avoir mal… Je ne comprends pas tout de suite, et puis je réalise qu’elle m’offre son cul ! Ivre de joie, je l’embrasse dans le cou, sollicite les gros nichons, agace les tétons qui pointent sous le T-shirt. Je lui demande, en lui mordillant l’oreille à travers ses cheveux, de se courber sur l’évier et de creuser les reins. Satisfait par la posture bestiale qu’elle a adoptée, je contemple sa croupe cambrée, son cul bombé. — Je vais t’enculer, Maman ! — Tu es sûr, mon chéri ? Oh, Mon Dieu, fais attention…Tu vas me déchirer ! ...
... — Mais non, voyons… ne t’en fais pas ! Fou de désir, je l’empoigne par les hanches et présente mon gland devant le sphincter verrouillé. La présence de ce corps étranger, sur le point de forcer l’étroite entrée, fait que Maman se contracte et refuse l’intrusion en se débattant de plus belle. Mais ses mouvements désordonnés m’excitent davantage. Ses fesses frissonnent, se couvrent de chair de poule sous la poussée, et je vois mon gland disparaitre dans son trou du cul. — Arrête-toi tout de suite, c’est très douloureux ! S’il te plait, Maxime, tu me fais mal ! Elle se cabre, envoie son bassin en avant, donne de grand coups de reins pour me déloger, mais ses tentatives désespérées provoquent l’effet inverse : les délicieuses contractions qu’elle exerce sur mon gland décuplent mon intention de m’introduire tout entier dans le cul maternel. Elle pleurniche, me supplie de me retirer. — Mais enfin, mon fils, est-ce que tu te rends compte de ce que tu es en train de faire ? Tu me traites comme une putain ! Je suis ta mère quand-même… tu n’as donc plus aucun respect pour moi ? Voilà qu’elle recommence à me dire qu’elle est ma mère, que je suis son fils, que ce n’est pas bien... Mais elle ne le fait pas par perversion pas cette fois, ni pour m’exciter. Elle l’exprime comme si elle prenait seulement conscience de notre filiation, et qu’elle était stupéfaite par sa découverte vu les circonstances. Ma verge est plantée profondément dans son fondement, et, comme le chantait Gainsbourg : « ...