Le choix
Datte: 05/10/2019,
Catégories:
fh,
médical,
handicap,
Collègues / Travail
amour,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
confession,
... sentiment d’une parfaite jouissance, mais aussi l’inquiétude de la suite. Je pouvais entendre ses pensées internes :« Oh, que c’est bon ! Mais va-t-elle s’arrêter là ? Je t’en supplie, continue, ne me laisse pas ainsi au bord de la route ; je n’ai pas mes mains pour me faire accéder au terminus. » Je ne sais ce qui me prit. Était-ce l’interprétation de ses pensées ? Était-ce la soumission à mon propre corps torturé ? Toujours est-il que, dégrafant lentement ma blouse, je mis mes seins encore fermes et lourds à la vue de Marc et, plantant mon regard dans le sien qui ne savait plus qui regarder, mes yeux ou mes seins, enlevant de ma main le gant de toilette, j’entrepris de masturber ce sexe que je trouvais beau. Je le maintenais aisément en érection, mais veillais à ce qu’il ne jouisse pas trop vite. J’adjoignis ma bouche et ma langue aux mains. Le regard de Marc n’était plus avec moi. Je le sentais qui se promenait dans un espace indéfini et ouateux qui ne distribuait que du bonheur. Mon propre sexe, que je sentais gonflé et rempli de mouille, me torturait. Il voulait lui aussi participer. Aussi, grimpant délicatement sur le lit, à califourchon, en appui sur mes genoux, j’introduisis la hampe raide de Marc jusqu’au plus profond de mon con ; et là, sans plus bouger le corps, je le masturbai par les contractions de mes muscles vaginaux. Il ne tarda pas à éclater en un profond gémissement alors que je sentis le jet de son foutre venir taper contre le fond de mon vagin et qu’une ...
... contraction orgasmique se saisit de tout mon corps. Reprenant ses esprits tandis que je finissais vivement la toilette intime suite aux dégâts de nos ébats, il prononça un « merci » dans un murmure. Je ne prononçai pas un mot. Je me contentai d’un « à ce soir » bref et fuis vers d’autres tâches. Toute la journée je pensai à ce qui s’était passé la nuit dernière. Je n’arrivais pas à analyser sainement la situation. Pourquoi ? Et maintenant ? J’étais perturbée, mais je n’arrivais pas à me trouver coupable ni à le trouver coupable. Une certaine félicité s’était emparée de moi, de mon esprit, de mon corps. Quand le soir je retournai dans la chambre 16, je vis bien que Marc était dans l’expectative de ma réaction. Venant poser un baiser sur ses lèvres, je le sentis de suite rassuré. Nous avons repris nos discussions habituelles, mais au fil des conversations elles devenaient de plus en plus intimistes. Je désirais savoir pourquoi nous n’avions vu personne de sa famille. Il m’avoua qu’il n’avait pas de famille. Orphelin de parents dès l’âge de cinq ans, décédés dans un accident d’avion, grands-parents eux-mêmes disparus lors d’un accident de train, il avait été élevé par l’assistance publique. De caractère turbulent, il avait été placé dans une maison de jeunes difficiles à la montagne. Pour les calmer en les fatiguant, on leur faisait faire beaucoup de ski en hiver. Le ski devint sa passion et lui permit de se réaliser et de se socialiser. Doué physiquement, il était devenu l’un ...