1. Le choix


    Datte: 05/10/2019, Catégories: fh, médical, handicap, Collègues / Travail amour, Masturbation Oral 69, pénétratio, confession,

    ... des meilleurs dans sa spécialité. « Il suffit de vouloir et travailler pour réussir », disait-il toujours. Il avait réussi à me faire avouer ma passion refoulée, le violon. Alors qu’un avenir brillant était peut-être à ma portée, j’avais renoncé à la musique après un concours raté. Il me poussa à reprendre mes cours. « On doit suivre ses passions pour être heureux et se réaliser pleinement. » me rabâchait-il. Après la toilette, nous faisions l’amour. Il ne pouvait toujours pas me toucher de ses mains, mais je m’arrangeais pour que ses lèvres et sa langue puissent atteindre tout mon corps. En quelques nuits, nous étions devenus des spécialistes du 69. J’adorais sucer sa belle queue que ma langue et ma bouche caressaient de longues minutes avant que mes lèvres serrées autour sa hampe raide pompent jusqu’à l’éclatement qui me faisait ingurgiter son foutre chaud au goût suave que j’adorais. Sa langue qui s’introduisait profondément dans mon con me chauffait et je lui inondais le visage de ma mouille qu’il aimait avaler. Et quand il me sentait à point, le bout de sa langue venait lécher et titiller mon bouton, m’envoyant dans les étoiles. Marc dut rester deux mois et demi dans le service, car trois opérations de réajustement se succédèrent. Après un mois et demi, ses mains furent libérées des plâtres. Il fallait le rééduquer par de la kinésithérapie qu’il faisait tous les jours, mais celle qu’il préférait était celle de la nuit. Il se rééduquait en me triturant les seins et les ...
    ... fesses. C’était un exercice agréable pour nous deux. Quand il eut un peu plus de maîtrise de ses doigts, il s’exerça à me caresser le clitoris avec chacun de ses doigts. Ces exercices nous plaisaient énormément, car ils nous mettaient en condition pour faire l’amour dans une grande excitation. Mais lorsque les radios signalèrent que les os s’étaient ressoudés, il dut partir en maison de rééducation spécialisée pour polytraumatisés. Cet établissement était à plus de deux heures de route de chez moi, bien trop loin pour que je puisse expliquer raisonnablement mes absences. J’ai donc décidé d’arrêter cette aventure. Je n’ai plus répondu aux coups de fil de Marc après lui avoir exprimé combien il m’était cher, mais que je ne pouvais pas bouleverser ma vie familiale, abandonner des enfants qui comptaient sur moi, et un mari auquel je n’avais pas grand-chose à reprocher si ce n’était que notre vie sexuelle s’était un peu émoussée dans la routine, ce dont j’étais aussi responsable que lui. Pour l’oublier, il fallait que je m’occupe beaucoup ; mais pour ne pas l’oublier entièrement, il fallait que cette occupation ait un lien avec lui. J’ai donc repris mes cours de violon. En deux ans de dur travail, j’ai retrouvé un bon niveau au point que j’ai obtenu le poste de soliste dans l’orchestre philharmonique de Lyon. Je n’avais plus de nouvelles de Marc lorsqu’un soir, juste avant de me rendre à l’hôpital, la télé étant allumée, mon regard croise l’image d’un skieur descendant dans un ...
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