1. Soirée viagra avec Laure


    Datte: 06/10/2019, Catégories: fh, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Transexuels Masturbation Oral pénétratio, fantastiqu,

    ... mais voilà, contrairement à Laure, il ne m’arrive pas de fricoter avec mes amis du même sexe et alors, quelques blocages me bloquent.Et puis ma chatte est tellement bonne, c’eût été une perte de temps… je songe en rigolant. C’est doux, calme, lent, surtout ça ne s’arrête pas, c’est indéfini, est-ce la came ou quoi, mais le temps en lui-même, disons, change de forme. J’essaye au début d’observer, comme pour me souvenir du savoir-faire, mais non, ça me semble secondaire par rapport à goûter, jouir de cela. Plus haut, plus bas, à droite, à gauche, verticalement, horizontalement, après avoir tordu le temps voilà Laure qui tord l’espace. Rapides ou lentes, les accélérations ralentissent pour reprendre, j’ai le dos moite. — Hum, miam-miam ! Quelle jolie chatte, qu’elle est bonne ! elle chante alors gaiement, pour reprendre aussitôt. Ce qu’il y a de bien avec Laure, c’est qu’une fois partie en vrille, c’est sans fin. Un peu plus tard, un doigt rentre, puis deux, ils m’entreprennent comme en un geste de viens-par-ici, approche-toi mon petit minou ! Les deux caresses simultanées, ça commence à être bien, je ressens des tensions, puis les pulsations des battements du cœur dans tout le bas-ventre, comme le fait parfois un pinçon au doigt, la seule circulation du sang se révélant douloureuse, mais là c’est bon. Je sens que je coule, ça mouille même un peu entre les fesses. Je serre doucement ces deux doigts délicieux, par petites contractions, découvrant l’usage de muscles ...
    ... inconnus. Puis, le temps qui n’en finit pas, toujours, ça dure une sorte d’éternité. — Un arrêt aux toilettes serait plus prudent, hasardé-je après cette envie qui m’a réveillé, suite aux caresses.— Non, t’en fais pas, ce n’est pas cela, c’est normal, laisse-toi faire. Alors, je replonge dans une sorte de transe étrangère. Je songe à ces tribus d’Amazonie aux rites initiatiques, à la recherche du contact avec l’autre monde, cherchant son moi animal associé, le puma m’irait bien. Maintenant, je commence à voir des étoiles au plafond, pendant que Laure me caresse doucement un sein que j’ignorais pareillement connecté au sexe. Le plus fort n’étant pas les sensations, mais l’idée que ce soit Laure qui me les procure, avec une force de ravissement en soi. À croire que mon esprit fonctionne différemment. Moi qui pensais impossible de ne penser à rien, j’ai l’impression d’y goûter par plages. Puis, des petits éclairs dans les yeux, je ne me sens plus qu’un sexe démesuré, comme n’ayant pas un centimètre carré du corps non sexué. Me voilà montant vers le plafond, Laure, le visage inondé d’une giclée, poursuit sans férir d’ultimes massages, emmenant les spasmes qui me transpercent. Je ne me rends compte de rien, sauf d’une surprise inouïe. Voilà qu’elle vient maintenant à mon côté, s’allongeant à moitié sur moi, le visage près du mien, les poitrines mêlées, me couvrant d’une cuisse. — Merci, merci, dit-elle alors, dans un murmure.— Oups, j’ai eu une fuite, murmuré-je, à la frontière de la ...