Le doigt
Datte: 07/10/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
campagne,
école,
amour,
volupté,
fdomine,
hdomine,
humilié(e),
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
jeu,
init,
... mains. Evidemment, les mâles applaudirent bruyamment à la performance, mais Patrick eut un peu de difficulté à supporter la vulgarité du spectacle. Sa manière de perfection était rehaussée de menus défauts, dont l’un était qu’elle sentait fort des pieds. Patrick, qui avait prévu d’accompagner au cinéma un groupe d’adolescents, redoutable panier d’altérés du comportement, et flanqué d’elle dès ce premier soir qu’elle le subjugua et qu’on lui avait miraculeusement confié cette grande jeune fille désirable, Patrick, donc, se défit de ses chaussures pour profiter de l’épaisse moquette du multiplex. Après qu’elle lui eût confié que ses pieds gonflaient, elle ajouta avec un rire de volaille étouffé qu’elle n’enlèverait pourtant pas ses gros souliers en polymère, assemblés quelques part entre les Philippines et le Laos, de peur que l’odeur ne les incommodât tous. Peut-être fut-ce cette ânerie qui le rendit fou d’elle : il ne rêva plus désormais que de lui sucer les orteils. Rapidement, il apparut qu’Hélène n’avait rien à battre de Patrick. D’abord, elle « avoua » qu’elle était mariée, malgré son jeune âge, puis, alors que Patrick travaillait avec les grands, elle fraya assez vite avec les éducateurs rassurants du groupe des moyens - Patrick n’allait pas tarder à perdre les siens chaque fois qu’il la croiserait. Il faut dire qu’Eric, le collègue et ami de Patrick, la draguait de façon éhontée, à grands coups d’allusions concernant l’exiguïté de la chambre d’éducs. De quoi prendre ...
... peur, vraiment, ou s’agacer. Hélène était moqueuse. Elle sentit d’emblée que Patrick en pinçait pour elle ; lui croyait sincèrement rester en toutes circonstances très classieux. Pourtant, elle l’anéantissait par des mises en boîte dénuées de tout désir, même voilé : « Bon, bonne soirée. Ne t’énerve pas trop. » croassait-elle en rejoignant Jacques ou Freddy pour s’occuper des jeunes. C’était Hélène de Troie, mais inaccessible. Bien moins indulgente que l’original. Au contraire, elle était câline avec ses autres collègues qui la considéraient comme une simple amie. Les élèves dans l’ensemble l’aimaient bien, elle était douce et compréhensive ; elle parlait dans une langue tout juste moins hachée que la leur. Elle se faisait respecter sans problème, malgré une silhouette qui les rendaient dingues. Patrick surprenait parfois d’étranges litanies masturbatoires quand il faisait sa ronde, une fois les jeunes couchés. Cris et chuchotements. « Tu la vois Hélène ? J’lui arrache son jean. Tu vois son cul ? J’lui mets mon sguègue… » et les paroles étaient noyées dans ce froissis caractéristique des prépuces qui, savamment maniés, découvraient et recouvraient les glands juvéniles. Patrick n’avait guère le cœur à y mettre le holà, car il comprenait trop bien ce feu qui les taraudait. Il n’en pouvait plus de ses jeans serrés sur des cuisses de rêve, de ses caracos ridicules qui l’empoignaient au cœur. Il rêvait de sa poitrine, de sa chatte, d’elle toute entière ; quand il sautait Evelyne, le ...