1. Le doigt


    Datte: 07/10/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail campagne, école, amour, volupté, fdomine, hdomine, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, jeu, init,

    ... rejoindre que le mercredi soir. Honnêtement, il avait un peu mauvaise conscience, car il avait fait subir à cette fille dont il était amoureux ce qu’il fallait bien convenir d’appeler une franche humiliation. Il arriva en fin d’après-midi au gîte. Il y régnait une quiétude inaccoutumée. Les jeunes semblaient apaisés par l’air campagnard. Gérard, Jacques et Hélène préparaient le repas, écossant des fèves. Un peu inquiet, Patrick s’approcha de la jeune femme pour lui dire bonjour. Elle montrait une expression, inhabituelle pour elle, de sérénité. C’en était fini pour l’instant de ce masque espiègle qu’elle arborait si souvent. Pour la première fois, elle portait une robette simple et fleurie, qui mettait en valeur tout ce que sa beauté avait encore de juvénile. Elle semblait rien moins que rouée ce mercredi-là. Elle regardait Patrick sans rancune apparente. La soirée fut longue et délicieuse après le coucher des élèves ; Patrick goûtait ce tendre moment près de celle qu’il aimait, et si son cœur se serrait parfois à la pensée que tout était bel et bien fini avant même d’avoir commencé, il n’entendait pas se priver de ce petit bonheur qui lui tordait les tripes, d’avoir Hélène près de lui et si peu agressive. Fatigués par leur journée de randonnée, un peu enivrés par le vin, Jacques et Gérard finirent par dire bonsoir. Hélène resta, contre toute prévision. Patrick se dit que l’heure des explications avait sonné, et qu’il allait en prendre pour son grade. La jeune femme ...
    ... rapprocha son fauteuil du sien sans rien dire. Au bout d’un long moment, elle prononça ces mots : — Excuse-moi. Patrick se tourna vers elle, et vit une expression sur le visage d’Hélène qu’il adora plus encore que toutes les précédentes. Il lui prit la bouche délicatement, et ce fut une fusion qu’il n’oublierait pas. Leurs langues agiles se cherchèrent, s’étreignirent. Leurs haleines se mêlaient, et l’une comme l’autre exhalait le désir partagé. Au bout de ce très long baiser, Patrick était dur comme du bois, et Hélène, sans pudibonderie inutile, avait commencé à masser son sexe à travers le pantalon. Alors qu’elle s’apprêtait à descendre pour extirper le phallus de sa loge devenue trop étroite, Patrick arrêta une seconde le mouvement et défit les quelques boutons qui retenaient le tissu fleuri de la robe. Elle apparut en sous-vêtements ni sages, ni coquins, toujours cette couleur olive un peu transparente qui devenait peu à peu la couleur préférée de Patrick. Il la mit nue en un tournemain, et bien vite ils roulèrent sur le canapé d’extérieur, judicieusement constitué d’un matelas reposant sur une caisse en bois, se lapant mutuellement le sexe. La langue de Patrick parcourait la longue fente bordée de poils fins, écartant les lèvres et buvant littéralement à la source qui se faisait de plus en plus abondante, avant de s’en aller branler à coups rapides de langue le clitoris de la belle, qui pendant ce temps lui faisait les honneurs d’une bouche et d’une gorge parfaitement formatées ...
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