Ma colocataire (5)
Datte: 08/10/2019,
Catégories:
Lesbienne
... particulièrement obscène, ce qui m’a donné encore plus envie de le faire. Je me suis concentrée, j’ai abaissé les paupières quelques secondes, j’ai relâché mon sphincter. En rouvrant les yeux, je sentis une douce chaleur dans ma culotte toute propre. Pendant toute l’opération, j’avais su rester impassible, mais ma copine, elle, était devenue toute rouge. Le type continuait à me regarder, sans se douter de rien. Il est descendu à la station suivante. Au Louvre, nous sommes remontées à la surface. — Tu l’as fait ? fit Magalie. Montre ! Sans attendre ma réponse, elle me poussa derrière un pilier. Elle introduisit sa main entre les pans de mon kilt. — Donne-moi ta culotte, je veux la garder en souvenir, me dit-elle. L’éducation que j’avais reçue ne m’avait pas accoutumée à sortir dans la rue sans culotte, pourtant je n’ai émis aucune protestation. J’ai jeté un coup d’œil autour de moi : personne. Vite, j’ai baissé ma culotte, et Magalie s’est dépêchée de la ramasser. — Je ne t’aurais pas crue capable de le faire ; t’es un chou, merci, dit-elle en m’effleurant les lèvres d’un baiser. Elle la mit dans son sac et nous avons poursuivi notre promenade. L’incident était clos. Je découvrais comme il était agréable et excitant de se balader fesses nues sous la jupe. Après avoir fait le tour du Louvre par la rue de Rivoli, nous sommes arrivées devant l’église de Saint-Germain-L’Auxerrois. Là, une petite brise qui se mit à souffler me procura un plaisir inédit, assez comparable à la ...
... caresse que me prodiguait Magalie après la séance de rasage : des sensations de frais, de nudité et de liberté. Ma copine, qui me surveillait du coin de l’œil, sauta sur l’occasion : — Vas-y, recommence. J’ai tout de suite compris ce qu’elle voulait. Dans l’état où j’étais, rien ne pouvait plus m’arrêter. J’ai écarté les jambes et quelques gouttes d’urine sont tombées sur le bitume. Nous avons recommencé plusieurs fois ce petit jeu avant d’arriver au pont des Arts. Je l’ai renouvelé une dernière fois sur la passerelle, juste à côté d’un groupe de touristes. La petite flaque, sur les planches, était bien visible ; personne – à part Magalie – n’y prêta attention. Mais moi, je ne voyais qu’elle. Un filet avait coulé le long de ma jambe ; ça m’était bien égal. Un banc était libre ; nous y avons pris place, le temps de reprendre nos esprits. Nous avions vue devant nous sur le Pont-Neuf. J’étais sagement assise, les genoux serrés et la jupe tirée sur mes cuisses. Nous sommes restées ainsi un bon moment à nous chauffer au soleil de juin, et nous nous sentions incroyablement bien. Un jeune couple vint s’asseoir en face de nous. Au bout de quelques instants, Magalie me donna un léger coup de coude : — C’est ton jour, regarde, il te mate. Dis donc, il est gonflé, juste à côté de sa femme ! En lorgnant discrètement dans leur direction, je me rendis compte qu’elle ne se trompait pas. Tous deux me parurent plutôt insignifiants : elle, une fille fade, ni belle ni moche. Lui, chétif avec une ...