Véronique
Datte: 08/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
grosseins,
caférestau,
Oral
69,
extraconj,
... rue.— Non, ça ne me dérange pas. Tu parles, je vais pouvoir encore l’avoir en face de moi ! Cette fois-ci elle est plus sage, ayant mis un pantalon rouge avec un haut noir, qui n’est pas décolleté. Ce n’est pas grave, elle est belle… Bastien parle, sans arrêt, il commente ce qu’il voit dehors, mais je n’écoute pas, ou à moitié, histoire de pouvoir lui répliquer quelque chose de temps en temps. Je la regarde, et elle me regarde. Elle parle à son amie, mais je ne sais pas ce qu’elles peuvent se dire. Bastien est tellement absorbé par dehors que j’ai tout loisir de la regarder. Et elle continue de me regarder. Je ne vois pas le temps passer, pourtant il faut bien aller bosser. Comme la dernière fois, mes yeux se jettent dans les siens au moment où je me lève. Et elle me fait fondre à nouveau avec son sourire… Ce jour-là, je suis inefficace au travail. Je ne pense qu’à elle. Cette fois, je craque. Il faut absolument que je rentre en contact avec elle. Mais comment faire ? Je prends le café avec Bastien, et elle avec son amie. Bastien est là tous les jours, je ne peux donc pas y aller seul, et m’installer près d’elle. Tout d’un coup, j’ai une idée. J’ai remarqué que les toilettes se trouvent au fond de la salle. Je n’ai qu’à y aller, et m’arrêter à sa table au passage pour lui parler. Mais il y a sa copine… Et si je lui laissais un mot ? Ou même simplement mon numéro de téléphone ? Elle comprendra sûrement. Et ça sera toujours plus discret. Oui, je vais faire ça ! Le soir en ...
... rentrant chez moi, je pense encore à elle. Ma femme me trouve « ailleurs », je lui dis que c’est parce que j’ai beaucoup de boulot. Mais à force de penser à elle, j’ai une érection qui ne veut pas s’en aller. Une fois notre fille couchée, je vais dans la cuisine et me jette sur mon épouse, qui ne s’y attendait pas. Je l’attrape par les épaules et l’embrasse dans le cou. — Ben dit donc, qu’est-ce qui t’arrive ? dit-elle.— Je sais pas, j’ai trop envie.— C’est le travail qui te met dans cet état ?— Arrête de te moquer de moi… Je soulève alors la jupe de ma femme et, après avoir passé ma langue sur son clitoris, je la pénètre sauvagement par-derrière. Je ressemble à un animal en rut. Malgré mon excitation, j’arrive à tenir un petit moment, au bonheur de ma femme qui n’a pas l’habitude de ce genre de câlin sauvage et qui semble apprécier. Elle s’arrête tout de même et se retourne, face à moi. — Attends, je vais te finir à la bouche, murmure-t-elle, avant de descendre.— Oui, c’est un bon… Après seulement quelques va-et-vient, je sens d’un seul coup venir et j’éjacule à grands jets dans sa bouche. — Eh bien, tu es décidément en très grande forme, remarque-t-elle. Habituellement ce genre de galipettes agit comme un assommoir sur moi, mais cette fois j’ai du mal à dormir. Je n’arrête pas de penser à elle. Le lendemain matin, je suis à la fois excité et anxieux. J’ai soigneusement découpé un morceau de papier, où j’ai écrit mon numéro de téléphone et mon prénom. Je l’ai plié et mis dans ma ...