1. Véronique


    Datte: 08/09/2017, Catégories: fh, fplusag, extracon, grosseins, caférestau, Oral 69, extraconj,

    ... ça y est ! Mais ne nous enflammons pas… Vu le « bruit » venant de la scène, je me dis que l’ambiance n’est pas trop au romantisme. Je n’ose pas l’embrasser. Pourtant elle me tient la main ! C’est que c’est bon. Mais… je n’ose pas. Au bout de cinq minutes, Véronique me dit que le son est trop fort et qu’elle souhaite partir. — OK, je vais régler les boissons, tu n’as qu’à m’attendre dehors (ça y est, je me suis décidé à la tutoyer).— Merci, tu es gentil. Je règle au bar puis je sors. Elle m’attend devant, magnifique, et elle me sourit. Je sais qu’elle est venue en métro, et qu’elle n’a peut-être pas trop envie de le reprendre à cette heure-ci. — Je te raccompagne en voiture ? Je suis garé juste là-bas.— D’accord, merci, tu es un ange. Tout naturellement, nous nous prenons la main. Nous marchons silencieusement jusqu’à ma voiture. Nous sommes bien. Arrivés à ma voiture, nous nous arrêtons, nous regardons, et nous embrassons. Je prends des risques à embrasser une femme dans la rue, mais nous sommes dans une petite rue, dans une ville où je ne connais pas grand monde. Et c’est tellement bon… Nous restons comme cela longtemps, mais je ne saurais dire combien de temps. Une minute ? Dix minutes ? Puis je lui ouvre la portière, et monte à mon tour. Dans la voiture, nous nous regardons, et nous embrassons à nouveau. Véronique commence à me caresser le torse, puis elle remonte vers le cou, avant de redescendre plus bas, bien plus bas… Sa main vient se poser sur la bosse de mon jean. ...
    ... Tout en m’embrassant, elle caresse mon sexe à travers mon pantalon. J’en profite alors pour moi aussi m’amuser avec mes mains, et caresser sa belle poitrine. Son parfum enivre la voiture… (il faudra que je trouve une explication à ma femme : je dirai que nous étions avec la copine de Bastien). Nous continuons à nous embrasser, sauvagement. Puis avec sa main, Véronique baisse ma braguette et avec dextérité arrive à sortir mon sexe de mon pantalon. Elle commence des va-et-vient avec sa main, puis plonge sa tête pour me sucer. Je suis gêné parce qu’on pourrait nous voir, encore qu’il s’est mis à pleuvoir et que de dehors on ne nous voit peut-être pas. Et puis je n’ai pas envie que Véronique s’arrête. C’est si bon… Profitant de sa position penchée, je caresse ses seins, à travers le soutien-gorge, puis libérés par leur maîtresse, directement avec mes mains. Je suis frappé par la douceur de sa peau. J’aime la fellation que je reçois. Elle est vraiment douée. Elle doit être expérimentée, je me dis. Mais la pluie a cessé, et j’ai peur que l’on ne se fasse trop remarquer. — On ne peut pas continuer en pleine rue, dis-je.— Tu as raison, on pourrait se faire embarquer par les flics ! Il faut qu’on s’arrête.— C’était pourtant très bon.— Merci. Allez, beau jeune homme, il est temps de ramener ta princesse dans son palais. Je vais te dire par où passer. Au bout de dix minutes de route, nous nous trouvons en bas de son immeuble. J’ai cru comprendre qu’elle n’avait pas pour habitude de faire ...
«12...6789»