1. un transport VIP inattendu. (2)


    Datte: 09/10/2019, Catégories: Hétéro

    ... nectar. Nathalie sursauta, et lorsqu’avec ma langue je remontai, caressant au passage l’orifice de l’urètre pour saisir de mes lèvres affamées le fruit mûr de désir, elle poussa un petit cri de surprise. De mes deux mains je tenais les grandes lèvres écartées. Ma langue avait entrepris un massage en règle du clitoris, dans tous les sens. De temps en temps je le prenais entre mes lèvres pour le sucer, comme pour le faire grandir dans ma bouche. Nathalie respirait de plus en plus fort et rapidement ; une plainte sourde sortait de sa gorge, puis d’un seul coup, plus rien. Elle se crispa de tout son corps, se retenant, puis saisissant ma tête de ses deux mains afin de la plaquer encore plus étroitement à sa chatte, elle poussa un cri. — Mon Dieu... Oui ! Continue... Ouiii !... Chéri, que c’est bon... J’en peux plus ! Elle jouissait sans retenue. Elle vivait son orgasme qui la transfigurait... — Tu es en train de me rendre folle ! Réussit-elle à me dire entre deux râles de plaisir. Vu que mes parents m’ont toujours dit qu’il était impoli de parler la bouche pleine – surtout à une dame – je ne lui répondis donc pas. Je venais de faire pénétrer une partie de mon index dans son vagin tandis que ma langue continuait sa douce torture sur son clitoris. Tout baignait dans la cyprine. C’était visqueux à souhait, à un tel point qu’il me vint une idée (ou suivais-je mon instinct de mâle toujours insatisfait de l’instant présent pour chercher toujours mieux ?) : je fis rejoindre mon index ...
    ... par le pouce qui se fraya un passage facilement pendant que les soupirs de ma « victime » se faisaient de plus en plus audibles et rapides. Au bout d’un instant d’intenses massages intra-vaginaux, je sortis mon index tout trempé pendant que mon pouce, se prenant pour un mini-pénis, taquinait les parois du couloir d’amour par des petits va-et-vient pour le conduire vers le petit trou juste plus haut. Mon doigt enduisit de cyprine cet anus encore vierge en des mouvements circulaires. — Tu aimes ? Demandai-je par acquis de conscience. — Oh oui ! Tu me rends dingue, mon bel homme... d’amour. Je plaçai mon index à l’entrée de la petite porte. Je sentis Nathalie frémir. Je poussai mon doigt, et après une résistance qui me parut « de principe », il se fraya un passage à travers cette rosette d’amour. La longueur d’une phalange introduite, je m’arrêtai et ne bougeai plus, attentif aux réactions de ma compagne. Au bout d’un instant, je commençai à faire bouger mon doigt à l’intérieur du rectum en de petits mouvements circulaires. — Fais attention, mon amour... Je n’ai pris aucune précaution d’hygiène : j’ai peur d’un accident. Demain matin j’irai à la pharmacie. Viens dans mes bras ; je veux te sentir sur moi, en moi. Je dégageai mon doigt délicatement ; il n’avait pas ramené de passagers clandestins. J’allai m’allonger à côté de Nathalie sur le côté, face à elle. Elle se colla littéralement à moi, plaquant ses seins dont je sentais la dureté des tétons contre mon torse, passant sa ...
«12...567...12»