1. un transport VIP inattendu. (2)


    Datte: 09/10/2019, Catégories: Hétéro

    Après être sortie de la douche, Nathalie était retournée dans sa chambre pour s’habiller. Nous devions aller dîner. Elle avait laissé la porte communicante entre les deux chambres ouverte. J’en profitai pour passer un polo bleu marine et un pantalon de toile grise. Je pris mon portefeuille et je passai dans la chambre de ma compagne. Elle avait passé une jupe de toile blanche, fendue à l’arrière, assez étroite, lui moulant les hanches comme une gaine ; c’était une femme qui savait s’habiller, qui savait comment mettre en valeur sa beauté naturelle. Elle se tenait devant le miroir, en train de se passer du fond de teint sous les yeux afin de cacher les cernes que notre équipée amoureuse lui avait laissés. Elle avait peint ses lèvres d’un rouge gloss de couleur cerise. Ses beaux cheveux tombaient librement sur ses épaules. Elle n’avait pas encore passé de chemisier ; elle était torse-nu, les seins libres de toute entrave. Elle me vit arriver dans le reflet du miroir. — Juste une minute, mon cœur, j’arrive. — Prends ton temps, on n’est pas pressé... Nathalie s’est levée de son siège, s’est retournée face à moi, et un sourire « mort subite » aux lèvres elle me demanda : — Je vous plais ainsi, mon Commandant ? — Trop ! Tu as de la chance... — De la chance ? Pourquoi ? — Que la machine ait besoin de repos, car... Elle éclata de rire. Elle se dirigea vers sa mallette pour en sortir un chemisier noir qu’elle passa à même la peau, sans soutien-gorge ni brassière. Ouf ! Elle me ...
    ... laissait totalement subjugué. Cette femme savait s’habiller. Son regard, son corps, ses gestes faisaient un tout, transpirant la sensualité et l’érotisme. Elle chaussa des escarpins blancs à hauts talons et s’approcha de moi en tournoyant comme un mannequin de haute couture. Remarquant mon regard, elle me demanda : — Tu as un problème, mon chéri ? — Non : c’est toi qui vas avoir un problème si on reste seulement ici une minute de plus ! — Chic, alors ! Méfie-toi que je risque de te le rappeler un de ces jours... Allez viens, on se sauve. Depuis que nous étions arrivés à l’hôtel, la pluie avait cessé. Puerto de la Cruz étant situé au niveau de la mer, depuis l’aéroport nous étions descendus de 633 mètres. Non seulement il ne pleuvait plus, mais la température affichait 22° alors qu’à 18 heures, à San Cristobal de la Laguna où est implanté l’aéroport Nord, le thermomètre affichait 17°. Cette différence se faisait sentir ; je fus surpris de constater une température si douce, surtout que je n’avais sur le dos qu’un polo d’été. Nathalie s’est arrêtée dans l’une des boutiques situées dans le hall de réception du gigantesque hôtel touristique afin d’acheter un gilet un peu plus chaud que celui qu’elle avait, fixant son choix sur un petit vêtement en laine angora qui d’ailleurs lui allait à merveille. Ensuite, nous nous sommes promenés, bras dessus bras dessous comme un vieux couple sur l’avenida de Colon, une allée bordée de toutes sortes de boutiques sur la gauche et d’une rangée de ...
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