Audrey
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
coupfoudr,
amiamour,
... regard pétille au travers de ses lunettes de vue et qu’un sourire malicieux barre son visage. J’essaie d’en savoir plus sur elle mais elle se dérobe à mes questions même si je réussis à savoir qu’elle est venue seule, son ami travaillant de nuit dans l’usine de production d’électricité du coin. Ma petite Audrey vient se ravitailler et me fait remarquer tout haut que je ne dois pas draguer les clientes. Il est vrai que je n’ai plus que des filles autour de moi, la plupart des garçons fumant à l’extérieur des cigarettes bio roulées avec des plantes de la production de notre hôte. L’inconnue sourit de l’allusion, mais continue néanmoins notre petite discussion, j’apprends enfin son prénom et quelques autres choses insignifiantes. Nous décidons de nous tutoyer, c’est beaucoup plus convivial. Mais c’est plutôt moi qui parle, je ne suis pas le maître dans cette sympathique joute verbale, je sers les convives en même temps et Cécile profite de la situation pour la mener à sa guise. De plus, mon cerveau fonctionne à plein régime pour retrouver où j’ai bien pu rencontrer cette femme. Cheveux courts et colorés, de fines lunettes, un visage doux aux yeux clairs, des lèvres charnues. Tout d’un coup j’ai un flash, je sais où je l’ai rencontrée et mon visage s’empourpre jusqu’à la pointe de mes oreilles. — Que t’arrive-t-il ? demande-t-elle, avec une adorable moue semblant dire : « Tu ne me reconnais que maintenant ? » — Rien, rien…— J’ai dit quelque chose qui t’a blessé ?— Non, non…— ...
... Tu vas me répondre en double longtemps ? dit-elle goguenarde.— Ben, euhh…— Ça ne s’arrange pas dis-moi ! Remarque, la dernière fois que l’on s’est vu tu étais encore moins loquace.— …— Si tu ne veux plus me parler, je peux te laisser tranquille.— Non, reste encore, lui dis-je en posant ma main instinctivement sur la sienne comme pour la retenir. Ma paume est restée en contact à peine une demi-seconde sur ses doigts, mais cela a suffi à ce que mon cœur s’emballe. Nos regards se sont croisés au même instant et j’ai compris immédiatement que nous avions envie de la même chose. J’étais avec Audrey et son club d’amies à table tandis que ma grande brune était loin, à l’autre bout de la pièce. J’ai quand même eu l’occasion de la voir de dos des pieds à la tête. Habillée d’une longue robe noire, pas du style sexy, mais moulant à merveille ses formes. Un long buste, la taille fine, des hanches plus larges auxquelles s’accroche un fessier charnu et cambré et de longues jambes posées dans des escarpins à hauts talons. Elle a de la classe, une fière allure, vraiment superbe la gazelle, avec sa démarche aérienne. Le côté face n’est pas mal non plus, lorsqu’elle était derrière le comptoir j’ai pu à loisir remarquer sa petite poitrine ronde tirer sur le tissu. Les épaules étaient légèrement découvertes laissant apparaître les bretelles noires recouvertes de dentelles de la lingerie fine. Audrey et ses amis passablement éméchés me parlent durant le repas, mais ma tête est ailleurs. Mes yeux ...