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Audrey
Datte: 10/10/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, coupfoudr, amiamour,
... petits seins tandis que nos langues ne cessent de s’emmêler. Je dirige la danse vers une pièce plus adaptée et je la couche délicatement sur un lit. Allongée sur le dos, je peux à loisir la caresser, embrasser sa peau, fouiner son buisson. Malheureusement nous ne resterons pas très longtemps à nous faire du bien, dès que nos langues auront réussi à faire atteindre à chacun l’orgasme tant espéré, les remords nous submergeront et impossible d’aller plus loin. Penauds, de la même manière que le feraient des adolescents pris la main dans le sac nous nous rhabillons en silence, sans même nous regarder dans les yeux. Dans la voiture sur le chemin du retour, l’ambiance n’est pas plus déridée, nous sommes atterrés de nous être laissés entraîner dans cette spirale dangereuse et nous n’assumons pas nos actes. Je pense à Audrey, elle pense à son ami et à sa copine. Chez moi, je prends une douche et me glisse sous la couette à côté de ma compagne, je ne dormirai pas une minute… Il n’y a pas eu de pénétration cette nuit-là, durant de longues semaines il n’y aura plus aucune escapade physique. Le téléphone et les messageries du net seront nos seuls liens de communication. Il n’y a pas très longtemps, je l’ai revue, je l’ai embrassée, je l’ai palpée et nous avons consommé. Si ce texte vous a plu, je raconterai peut-être nos actuelles et j’espère futures rencontres.