Audrey
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
coupfoudr,
amiamour,
... moment-là qu’arrivent Cécile et son ami à la carrure de rugbyman ; je n’ai d’yeux que pour elle mais je fais attention à ne pas trop me faire remarquer. Les trois bises de bienvenue sont lentes et douces, la dernière se fait même sur la commissure des lèvres. Personne ne se rend compte de rien car c’est à nouveau la foire dans la maison, l’apéro s’éternise, les chants ont repris. Curieusement le copain de Cécile ne me reconnaît pas, je ne lui en veux pas, bien au contraire, sinon je n’aurais pas su où me mettre. Comme Audrey est un peu malade de la veille, je suis autorisé à faire quelques écarts et je ne m’en prive pas. Par contre, j’ai pris ça au sens large du terme, durant une longue pause fumette, nous nous retrouvons par un heureux hasard de nouveau dans le garage. La porte fermée nous nous jetons dans les bras l’un de l’autre, la saveur n’est pas la même que la nuit précédente (ah le premier bisou…), mais c’est tout de même très agréable. Mes mains ont remonté sous le pull et la chemisette pour prendre les seins dans leurs paumes. Première surprise, ils sont libres de leurs mouvements, aucune lingerie ne vient entraver mes caresses. J’embrasse son cou, sa peau rappelle la douceur de celle des bébés, une légère odeur de vanille vient titiller mes narines. Je suis subjugué par la l’étreinte, une main descend vers l’arrière du pantalon de toile tandis que mes doigts s’amusent avec le téton durci. Dans la cambrure des reins, la main passe facilement à l’intérieur du ...
... pantalon et là, nouvelle surprise, il n’y a pas non plus d’étoffe pour cacher sa peau soyeuse. Elle se laisse faire, aucun mouvement de recul, mais par contre ses mains restent sagement autour de mes épaules, ma bouche remonte vers son oreille et je lui susurre : — Petite coquine… Humm… sera sa seule réponse lorsque ma main vient se promener à la lisière du sillon de ses fesses dodues. Son souffle chaud m’appelle et après une dernière incursion dans sa bouche, je me retire et la regarde droit dans les yeux, les mains toujours sur sa peau palpitante. Le temps presse, mais je ne sais comment aborder les choses, donc autant être direct : — J’aimerais passer plus de temps avec toi.— …— Si tu me donnais tes coordonnées, on pourrait… Je n’ai pas pu finir, ni elle me répondre, des bruits de pas venant de la maison nous font penser à l’arrivée imminente de quelqu’un. Je me jette à quatre pattes devant le vieux congélateur, l’ouvre et fais semblant de chercher des glaçons tandis que Cécile reste debout à un mètre de distance. Fausse alerte, un collègue fin saoul a ouvert la porte du garage puis l’a refermé aussitôt en gueulant : « Y sont où ces putains de chiottes ! » — On a eu chaud, dis-je, la tête toujours dans les surgelés.— Oh oui… Mais c’est grisant l’interdit.— C’est vrai que c’est très excitant.— Pas autant que de te voir nu dans le hall d’un hôtel.— Euhhh…— Tu ne crois pas que j’aurais oublié ton petit cul et tout le reste quand même.— Non mais à cet instant, je n’y pensais vraiment ...