Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (2)
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
Gay
Chapitre 2 : Confession J’ai eu du mal à m’endormir cette nuit là après avoir tout nettoyé et avoir rangé la machine dans un placard. Elle m’a semblé éveillée lorsque je l’ai posée au sol en position verticale. Elle était construite pour pouvoir se maintenir en station debout même lorsqu’elle était désactivée, c’est-à-dire que ses pieds détectaient le sol et que l’armature ajustait sa pose pour trouver un équilibre. Elle était là, debout, les yeux fermés, et j’ai fermé la porte du meuble comme si je ne faisais que ranger un aspirateur. Et après tout, quelle différence ? C’était là la réflexion que je me faisais alors que je fixais le plafond en essayant de m’endormir. Je me disais que j’exagérais surement la situation. Certes, le Père Velin allait désapprouver ce que j’avais fait, tout comme je le désapprouvais moi-même, mais seulement parce que ce genre d’actes menaient à une vie dissolue et empêchaient l’épanouissement des vertus. En fait, l’anthropomorphisme de cet appareil m’avait empêché de voir les choses telles qu’elles étaient réellement : il ne s’agissait que d’un objet, rien de plus. Je l’ai utilisé pour me faire du bien et ce faisant, je me suis laissé submerger par des pensées impures. Ce qui était condamnable ce n’était pas l’acte en lui-même, mais les pensées impures qui lui étaient associées. Le Père Velin était très clair là-dessus lorsque nous avions abordé la question de mes pratiques masturbatoires. Même s’il existait encore des endroits dans le monde où ...
... la masturbation et l’homosexualité (ou me concernant, la bisexualité) étaient rejetées, nous n’étions tout de même plus au 21ème siècle ! L’Eglise en général, et le Père Velin en particulier, étaient tout à fait accommodant quant aux impératifs de notre nature. Lui savait que j’aimais les hommes autant que les femmes et que j’avais découvert cela en fantasmant lors de mes masturbations avec divers objets sexuels, dont des godes et des plugs. Je n’avais pas abordé le sujet à la légère avec lui, je l’avais fait parce que j’avais besoin de conseil. Pendant un temps, j’étais obsédé par le sexe fort, et je me pénétrais tous les soirs en pensant à ce qu’un homme pourrait me faire. Comme je n’étais pas habitué à autant d’effusion dans ma vie intime, je m’étais persuadé que ma vie sombrait dans la débauche et que je dévalais une pente vers l’Enfer. Heureusement, mon bon prêtre m’a rassuré et m’a aidé à y voir plus clair: il n’y avait rien de mal en soi à utiliser des objets pour se faire du bien, le seul problème que je pouvais rencontrer c’était la tentation d’une quête exclusive du plaisir qui me détournerait de Dieu. Père Velin m’avait posé cette question à la fin de la confession : « Lorsque vous fantasmez sur des hommes vous imaginez-vous dans une relation saine et pleine d’amour, à même d’honorer l’amour de Dieu ? » J’ai dû admettre que non. Je m’imaginais plutôt des inconnus agressifs qui me dominaient avec lubricité. Après cette conversation cependant, j’étais revenu dans le ...